dimanche 18 octobre 2009

Le Flic Avait un Piercing


C’était un samedi ou un dimanche, cet été, nous avions pris la voiture avec mon mec pour aller déjeuner dans un petit village à une heure de route de chez nous. Il faisait chaud et beau, un temps à commander une bouteille de rosé, avec un peu de chance nous aurions une table en terrasse… Alors que nous étions sur une petite route de campagne, nous tombons sur une voiture arrêtée sur la chaussée. Un accident ? Nous ralentissons. En dépassant la voiture nous apercevons le conducteur et sa passagère, deux petits vieux, rien de grave apparemment, mais le conducteur à l’air sous le choc. Nous décidons de nous arrêter un peu plus loin et de venir à leur rencontre pour leur demander s’ils avaient besoin d’aide.

Il laisse sa femme et ses mômes dans la voiture, puis se dirige vers nous, je le regarde venir, fortement intrigué. Sous le charme même


Je leur demande si tout va bien, la petite vieille était plus calme et m’explique ce qui s’est passé en précisant que son ami n’était pas capable de remplacer la roue tout seul. Je remarque que le pneu de la roue avant est complètement éclaté, même la jante est pliée, il a dû se prendre le rebord du trottoir. Je les rassure en leur expliquant que je prenais tout en main… Alors que je commence à chercher la roue de secours, une autre voiture s’arrête, un homme en descend et enfile un gilet jaune de sécurité. Nettement plus pro que moi, je ne suis même pas sûr d’en avoir un ! Il laisse sa femme et ses mômes dans la voiture, puis se dirige vers nous, je le regarde venir, fortement intrigué. Sous le charme même. Il nous dit bonjour et nous précise qu’il est flic. D’un seul coup, on se sent très en sécurité :-)

Hyper craquant, le flic. Géant avec des grandes paluches, une silhouette genre baraque, un peu à l’étroit dans son pantalon bien chargé, châtain clair en brosse, un petit nez retroussé avec un piercing. Ultra sexe le piercing. Les yeux je ne sais plus, beau, évidement, profond, assurément. Il me fait fantasmer à donfe. En essayant de garder le contrôle, je lui explique ou nous en sommes. Ou plutôt je tente de lui expliquer, car plus je m’adresse à lui, plus mes propos s’emballent, je n’arrive plus bien à trouver mes mots. Mes idées s’entrechoquent, se bousculent, arrivent dans le désordre...

De pincer doucement le bout de sa verge, pour en sortir du suc doux et tiède, que je fais glisser entre mes doigts


Soudain, je suis pris d’une envie farouche – presque irrésistible – de me coller à lui, de lui passer les mains sous sa chemise, de lui toucher les seins à pleines mains, puis la pointe des tetons, le nombril, la peau. En lui laissant une main sur le ventre, de redescendre avec l’autre, de forcer le passage de sa ceinture, de plonger dans son pantalon, dans son slip. À l’aveugle. Sentir le début de la pilosité de son pubis de la pulpe de mes doigts, arriver à la base de sa verge. M’immiscer encore, sans jamais rompre le contact, le long de son sexe au repos, jusqu’au frein de son gland, puis jusqu’au prépuce, enfin de découvrir ses couilles, de les enserrer, de les soupeser, de les entourer de chaleur, de presser légèrement, de palper, d’apprécier leur volume. De deviner la vie de son foutre chaud, aux aguets, sous la peau de ses bourses, dans le duvet de ses poils. De pincer doucement le bout de sa verge, pour en sortir du suc doux et tiède, que je fais glisser entre mes doigts. De le sentir enfin écarter les jambes, s’abandonner à mes caresses, à mes caresses qui ne sont pour l’instant qu’une promesse, juste un préliminaire. Il respire à souffle court et puissant. Il est partout, je suis autour, je le respire dans ma nuque, ou bien sur mon visage, je ne sais pas, je ne sais plus ou je suis, je ne sais plus ou il est, je, nous sommes perdus. Ce type me rend fou.

Nous ne sommes pas seuls, j’ai l’impression d’être transparent, mon mec lit en moi comme dans un livre ouvert. Un trouble intense m’envahit, mes jambes ne répondent plus, ma gorge se rétrécit, l’air ne circule plus vraiment, j’en manque. Je suis saisi de palpitations, de tremblements. Je tente de le cacher, mais je perds tout contrôle… entre mes micro-moments d’absence, il y a sa façon de me regarder en toute conscience, il me regarde me débattre, j’interprète son silence, tout en lui me parle, j’entends… « Viens. »

je perçois une souple moiteur dans mon caleçon, je mouille comme un fou, je me demande si une tache n’apparaît pas à l’endroit de ma braguette


Mouais. Mon mec est là, la femme et les mouflets du flic attendent à dix mètres dans leur voiture, autant dire que rien ne va être possible. Nada. Je me ressaisis un peu, je doute que mes propos n’aient eu aucun sens. Il fait le tour de la voiture et remarque que la roue arrière est aussi à changer, car elle est complètement à plat. Problème, il n’y a qu’une seule roue de secours ! Il prend les choses en mains – j’adore, je le regarde sans rien perdre – il demande au petit vieux si son assurance va prendre en charge un remorquage. C’est alors que retrouvant mes esprits, je perçois une souple moiteur dans mon caleçon, je mouille comme un fou, à tel point que je me demande si une tache sombre, une tache humide n’apparaît pas à l’endroit de ma braguette. Sans oser vérifier, je rougis peut-être un peu.

Le flic est au téléphone avec l’assureur pour « négocier » une dépanneuse, cela semble plus compliqué que prévu. À ce moment, mon mec me rappelle que si nous traînons trop, il va être difficile d’avoir une table au restaurant. N’étant plus vraiment indispensables, nous disons au revoir. La petite vieille nous dit que pour nous remercier de notre aide, ils nous offriront un verre s’ils finissent par arriver au village. Charmante cette petite dame.

mardi 13 octobre 2009

Je Choisis de ne pas Regarder son Visage


Je rentrais du bureau, il était tard, mais je décide de faire une escale vidage de couilles en passant par l’aire de repos de l’échangeur de l’autoroute. Une fois sur place, je coupe les phares dès mon entrée dans le parking, pour ne déranger personne et ne pas me faire trop remarquer. La nuit est tombée, mais la pleine lune baigne le parking de sa lumière blafarde… Dans le sous-bois je devine quelques silhouettes solitaires ou pas, qui vaquent dans les buissons. Je coupe le moteur, regarde autour de moi puis descends de la voiture.

Puis je tombe sur ce type, il porte une veste et un pantalon de survêtement, des chaussures de sport, je flashe complètement sur son look


L’air est frais, je m’enfonce dans le bois. Comme souvent les quelques mecs que je croise ne sont pas à mon goût… De plus, à la lumière de la lune, ils ont tous plus ou moins des têtes de patibulaires. Pas très bandant tout ça. Puis je tombe sur ce type, il porte une veste et un pantalon de survêtement, des chaussures de sport, je flashe complètement sur son look. Pour ne pas prendre le risque d’être déçu, je choisis de ne pas regarder son visage, il pourrait avoir le moindre truc qui ne me plairait pas, et je n’aurais plus envie de lui. Et puis de toute façon, c’est sa bite dont j’ai envie, je veux aller vite au but, jouir et partir.

Je m’avance vers le contenu du pantalon de survêtement donc, il ne bouge pas mais je devine qu'il me suit du regard. Toujours sans le voir, je lui mets la main au panier, j’apprécie tout particulièrement le contact de son sexe au travers de son pantalon d’étoffe très fine, je sens bien la chaleur de sa bite au repos, le relief de son prépuce. Ses lourdes couilles pendent librement, soit il ne porte rien sous son pantalon, soit c’est un caleçon extrêmement fin.

il brise mon enthousiasme en rompant le silence, soudain il lâche « Qu’est-ce que vous voulez m’sieur ? »


Alors que je commence à prendre mes marques, alors que j’anticipe déjà la bonne partie de bites qui s’annonce, que j’envisage la suite à donner à l’affaire, avant que je m’abandonne à plonger la main dans se pantalon, alors que j’envisage la non-résistance de la ceinture élastique du survêt, la légère pression dudit élastique qui va plaquer ma main sur son ventre… Alors que, alors que… il en décide autrement, il brise mon enthousiasme en rompant le silence, soudain il lâche « Qu’est-ce que vous voulez m’sieur ? ».

Sa question me remplie d’effroi, pas ses propos en eux-mêmes, mais plutôt sa voix… Familière. Je dirais même peut-être connue ? Quasi immédiatement je réalise qu’il a exactement la même voix que mon beau-frère, mon outrageusement sexy beau-frère. Pas seulement la même voix, mais aussi la même intonation, le même phrasé ! Terrifiant. Sous le choc je débande immédiatement, je reprends ma main, pas fier. Je suis convaincu qu’il s’agit de lui. Je m’éclipse sans dire mot, la queue entre les jambes, toujours sans regarder son visage, surtout pas. Je reprends ma voiture puis rentre vite à la maison, avec le désagréable sentiment d’avoir été mis à jour.

Aujourd’hui, plusieurs années après – bien que ce soit hautement improbable – je reste persuadé qu’il s’agissait de lui… Je l’ai revu plusieurs fois dans le cadre de réunions familiales, je le trouve toujours aussi attirant, mais jamais je n’ai osé quoi que se soit. Trop dangereux.

vendredi 9 octobre 2009

Le Bonobo alias le Singe Kamasoutra



Connaissiez-vous les bonobos, les singes bonobos ? Personnellement, je ne connaissais pas. Cependant, le mot « bonobo » m’évoquait le nom d’un bar, et plus particulièrement le patron du bar en question… Lorsque nous habitions Paris, il y avait ce bar dans le quartier, le Bonobos Café, avec mon mec à l’époque nous aimions y boire un verre de temps en temps. Le patron était plutôt sexy, et il était particulièrement sympathique à notre endroit, nous avions pris cela pour une posture commerciale, sans plus… Était-ce une erreur d’interprétation de notre part ?

Lola Ya Bonobo : le paradis des bonobos


Bref, il y a quelques jours, je tombe par hasard sur l’émission Continent Science sur France Cul1, une rediffusion avec une invitée spécialiste des bonobos… Il s’agit de Claudine André, Belge de naissance, mais Congolaise d'adoption, elle nous parle d'une voix douce et calme du sauvetage (toujours en cours) des bonobos, mais aussi de ce qu'ils sont et de comment ils vivent dans leur communauté. C’est ce dernier point qui m’a beaucoup intéressé. Hum, hum, hum…

Claudine André nous explique « Les bonobos sont des grands singes qui ressemblent aux chimpanzés, mais ce qui frappe d'amblé, c'est qu’à la différence des autres grands singes qui évitent les regards, ou même peuvent prendre cela pour de l’agressivité (Gorilles), les bonobos, eux, nous regardent dans les yeux, je dirais même parfois au fond de l'âme, au fond des yeux, vraiment très profondément, ils vous cherchent dans les yeux. Le bonobo est plus élancé, plus élégant, moins rustique que son cousin le Chimpanzé. »

« Le bonobo ne veut pas vivre sans amour, si petit bonobo perds sa mère, avec laquelle il reste cinq ans, et bien il se laisse mourir. Afin de les sauver, Claudine André doit leur trouver des mamans de substitutions. »

« Vous voyez toutes les positions du Kamasoutra »


L’interview est prolongée par une visite du parc des bonobos, Claudine André commente « Vous voyez toutes les positions, toutes les positions du Kamasoutra (…) ils nous en apprennent tous les jours. » À la radio, évidemment, nous ne voyons pas la scène, en revanche nous avons droit à un fond sonore riche et tout à fait explicite, composé de petits bruits de bonheur, de halètements lubriques et de ce que nous devinons être des orgasmes à nous rendre envieux.

À un moment, un des soigneurs apporte de la nourriture, Claudine André, nous précise que « lors des repas la tension monte dans le groupe, pas une grande tension, mais comme la distribution de la nourriture est importante, les bonobos vont devoir négocier, c’est-à-dire faire l’amour ! Tout le monde s’accouple, et vous allez tout voir, et d’ailleurs parfois c’est très gênant, vous voyez des pénétrations normales, comme les humains, ou par l’arrière, vous voyez des sodomies entres mâles, entres femelles, vous voyez de la masturbation pure, et puis tout ce que vous pouvez imaginer dans la sexualité humaine… Et même des fellations, du cunnilingus, tout se que voulez, ils sont là, ils sont prêt à tout, les singes Kamasoutra. »

Juste une petite précision au sujet du Bonobo Café… en plus d’y boire, on y mange aussi ! Amusant non ?

« Le modèle des autres singes c’est : un mâle, des femelles et des petits… Le bonobo, ce n’est pas du tout ça. C’est une alliance de femelles qui gèrent l’agressivité des mâles, mais c’est une société très égalitaire, soit les femelles interviennent, toutes ensembles, pour calmer un mâle qui s’excite un peu trop au sein du groupe, sinon c’est le sexe qui gère les tensions dans le groupe. Nous n’avons jamais vu un bonobo tuer un autre bonobo, parce qu’ils anticipent et désamorcent les tensions à venir, par de nombreux contacts sexuels. Grâce au sexe, il règne toujours une harmonie latente dans les groupes de bonobos. »

Je vous le disais que c’était intéressant cette émission. Quelques leçons à tirer, non ?

« Les Bonobos adorent les French Kiss, avec la langue »


Dans un rire Claudine André ajoute « Les Bonobos adorent les French Kiss, avec la langue, même envers leur soigneur ! Il faut toujours faire attention, car ils approchent de vous, et presque par surprise ils vous roulent un patin. Mais ils ne recherchent pas spécialement le contact sexuel avec tout ce qui bouge, ils sont équilibrés. Mais c’est étonnant d’intelligence la façon dont ils gèrent les problèmes, ils veulent arriver a leur fin, avec un système dont le sexe fait partie. C’est un langage de paix pour eux, ils sont de grands pacifistes, donc ils l’utilisent énormément, sans distinctions, entre mâles, entre femelles entre un grand mâle et une petite femelle… »

« Il y a deux grandes raisons pour lesquelles les bonobos sont pacifiques : ils n’ont pas de territoire à défendre et ils n’ont pas de propriété sexuelle. C’est un peu le hippie de la forêt, dont la devise serait faites l’amour, mais pas la guerre. »

Hallucinant ! Cette idée au sujet de la propriété, génératrice de problèmes (dont personne ou presque ne parle), rejoint mon précédent billet d’humeur

« Les bonobos sont notamment des adeptes de la position de la levrette, face à face, ils se regardent, se sourient, ont peu même entendre de petits cris de jouissance… Ils sont bien dotés pour le plaisir, pour aller à l’orgasme… Le bonobo mâle serait le mieux équipé des grands singes. »

« Ils partagent tout, la nourriture bien sûre, mais aussi le sexe, ils ont aussi des amitiés, des affinités avec certains plus qu’avec d’autres, mais pour ce qui est du sexe, ils négocient avec tous de la même façon. Les autres singes peuvent partir en guerre, tuer leurs congénères, mais le bonobo est un grand négociateur, le bonobo c’est surtout pas la guerre. »

« Les Chimpanzés tuent systématiquement les males réintroduits et donnent une chance a certaines femelles, avec les bonobos c’est juste une grande sexe-partie»

1. Continent Science, France Culture, Sauver les Bonobos (Rediffusion du 02/05/2006)

lundi 5 octobre 2009

Son Pouce me Caresse la Prostate… (2/2)




Ça bite atteint de belles proportions, il décide de passer derrière moi. De là, il se baisse pour me lécher le cul. Il me prépare, comme une mariée, avec attention, technique et savoir-faire. Je continue à me branler, il me caresse les couilles pendant qu’il m’introduit le bout de sa langue de gaulois dans l’anus.

Contact, retrait, frustration


Au bout de quelques minutes de ce bain de salive, il se relève et se rapproche. Il met sa bite dans l’axe de mon orifice, de mon corps. D’abord son gland, contact seulement. Contact, retrait, frustration. J’ai l’impression que mon cul s’ouvre tout seul, mon cul appel sa grosse bite, mon corps entier attend, ne peut plus attendre. Je suis prêt à tout. Je me penche en avant, prends appuis sur l’arbre d’en face, le bras tendu. Il reste froid, il maîtrise le truc, il m’approche jusqu’au contact de sa bite, il est là, il abouche, je sens la peau de son gland retroussé, le contact est parfait, il y a juste assez de fluide, nous sommes faits l’un pour l’autre. Il part encore. Il glisse sa main gauche sur mon ventre, il prend appuis – c’est un signe, je le prends comme un signe – désespéré que je suis de l’attendre, de l’attendre en moi.

Oui, c’était bien cela, un signe, il me fourre son engin dans les fesses. Jusqu’au fond, je sens le métal de son cock ring sur ma peau. Ses poils, aussi, enfin je crois, je ne sais plus trop, ce qui est à lui, ce qui est à moi, nous ne faisons qu’un.

Putain, qu’elle est bonne sa bite, qu’il est bon de le sentir en mon ventre. D’une de ses mains il caresse un de mes tétons, sous mon polo, passe sa main chaude sur mon sein, de l’autre main il « keep control ». Je prends mon pied, il respire par saccades dans ma nuque, je comprends que lui aussi. Je suis au bord de me lâcher, de tout lâcher. Tel un médium il le sent, il le vit, il se retire, sans avoir eu le temps de manquer de lui, il me plonge son pouce à fond dans le cul. Il se laisse tomber à genoux sur le sol, je ne peux le voir, mais je devine qu’il se touche la queue. De son pouce il peut atteindre ma prostate, il la palpe de la pulpe de son pouce, avec ses autres doigts il m’enserre les couilles, il enveloppe mes couilles dans sa main. Il exerce une légère pression sur mes burnes. Il forme une pince entre son pouce et ses autres doigts, en rapprochant ses doigts, il comprime le tout, cette caresse est exquise, totale, je ne vais pas tarder à décharger.

cette morsure lubrique déclenche dans mon bas ventre un spasme voluptueux, par reflex je comprime l’anus


Je l’entends râler dans mon dos, il me mord le côté de la cuisse, cette morsure lubrique déclenche dans mon bas ventre un spasme voluptueux, par reflex je comprime l’anus, il sent mon orgasme dans son pouce et il se met immédiatement à jouir, il grognonne derrière moi, il s’écroule sur ma cuisse, se laisse tomber, s’oublie le temps de laisser vivre et mourir son orgasme.

samedi 3 octobre 2009

Son Pouce me Caresse la Prostate… (1/2)



Ce n’était pas la première fois que nous nous touchions la bite. En fait, ce type me branche à donf ! Il me fait penser à un légionnaire à la retraite, la cinquantaine, grand, massif, cheveux rasés, des tatouages « faits maison » sur tout le corps (je dis bien tout le corps). En général, il porte un blouson en tissu de camouflage et des pantalons de militaires, genre tenue d’entraînement. Bref, c’est le type viril, de plus il a une grosse bite, dont il veut se servir. Maintenant.

dans le bois, il me baisait au milieu des arbres dénudés


Nous nous étions déjà croisés en plein hivers, il n’y avait que nous dans le bois, il me baisait au milieu des arbres dénudés. Un passant, un promeneur de chien, qui se trouverait là ne pouvait pas nous rater. Diable que c’était excitant, je mouille rien qu’en y pensant. Mais ce n’est pas le sujet de ce poste, j’y reviendrai un autre jour…

Cette fois, c’était l’été et il était torse nu, il était plus en moins en « affaire » avec un autre type. Je m’approche, pour voir. Je comprends vite qu’ils ne vont pas faire grand-chose, le type lui tourne autour, mais il n’a pas l’air de savoir pourquoi il est là, indécis. Mon légionnaire l’oublie, et se met à se toucher la bite en me regardant. Je ne me fais pas prier pour le suivre dans son antre, une cache derrière les arbres. Nous sommes très excités l’un et l’autre, nous ne nous sommes pas vus depuis un moment, mais nous nous connaissons bien, intimement.

J’ouvre ma braguette, il plonge sa grosse main dans mon caleçon, il fouille de ses doigts, se fait de la place, se fraye un chemin vers mon petit trou du cul, un peu comme un chaton cherche un téton perdu dans la fourrure, à l’aveugle, au touché. J’ouvre, ma ceinture, puis mon bouton de pantalon, je vais vite. Il retire sa main, un instant (il le faut), pour que je puisse baisser mon pantalon et mon caleçon, tout en bas, sur mes pompes. Je suis là, les cuisses écartées, les couilles déployées dans l’air frais, la bite ballante, le cul offert j’attends son doigt.

il me fait attendre, quelques microsecondes, un siècle...


Il revient, il y va, il me doigte doucement, comme un gros pervers il me fait languir, il met le bout de son doigt, puis le retire. Il tourne autour du pot, au palpé il inspecte mon orifice, il me fait attendre, quelques microsecondes, un siècle, puis recommence a m’enfiler son index. Progressivement, il m’insère le bout du bout du doigt, le bout de son doigt, puis la première phalange. Il me le soigne mon petit trou du cul, il sait qu’il va y mettre sa grosse bite, là, dans ce petit trou qu’il faut soigneusement préparer, réveiller, alanguir. Rendre esclave.

Ah putain ! Sa grosse bite. Parlons-en. Il porte un cock ring, elle est belle sa bite, un peu courbe vers le haut, fière, un poil dominatrice, très peu de poils, un tatouage à la base, un motif de flamme qui fait tout le tour de sa verge, un tatouage à l’encre bleue. Je me jette sur cette belle bite, commence à la sucer. Il a un peu transpiré, il sent le mec, surtout dans sa petite touffe de poils bruns. Il sent lui. Je respire à plein nez son odeur animale, à chaque descente du mouvement de va-et-vient, je plonge mon nez dans le rêche de sa pilosité. Au bout d’une demi-seconde, alors qu’il s’excite, autonome, en me tripotant le trou du cul, et que j’asticote son mandrin, il commence à libérer dans ma bouche sa petite liqueur, de cette saveur qui annonce le plaisir. Je goûte son jus intime, je me touche, je mouille aussi.

À Suivre...


vendredi 25 septembre 2009

Drague à Distance, Mais pas sur Internet !


Ce midi je me suis fait brancher comme jamais. J’étais assis sur un banc dans mon parc habituel, de ma position stratégique, je voyais passer les mecs qui s’engouffraient dans une sorte de jardin enclos, dans lequel il était possible de trouver de la viande fraîche… Certains consommaient sur place, personnellement, estimant le coin trop à découvert, je me contente plutôt de chasser puis d’emporter ma proie vers des toilettes publiques non loin ou un autre coin tranquille dans le parc voisin, pour savourer mon plaisir à l’abri des regards. C’est d’ailleurs à partir de ce poste d’observation que j’ai cueilli le beau Jarek, le fameux pompier polonais.

je focalise sur le type, car mon radar a détecté un touchage de bite


Bref, tel un périscope je trimbalais mes yeux de droite à gauche en scrutant l’horizon. D’un seul coup mon radar s’arrête sur un type, à l’extérieure du parc, sur le trottoir, derrière la grande porte en fer forgé. Inconsciemment, je mets au point ma vision longue portée, je focalise sur le type, car mon radar a détecté un touchage de bite !! Je n’y crois pas, il est à 50 mètres de moi, il me regarde au travers des volutes de fers forgés, en se touchant la bite. Carrément dans le genre je me touche et je veux que tu me voies… Incroyable, le type fume une clope à côté de sa voiture et là, l’air de rien, sans même entrer dans le parc, il me lance une invitation tout à fait formelle ! Cette façon d'opérer à distance, c’est tellement improbable, que j’attends sans bouger qu’il se touche encore une fois la bite, pour valider mon raisonnement…

Et de deux ! C’est ça oui, il se touche la bite une deuxième fois, je veux dire il se touche franchement la bite, en me regardant. Cette fois si, plus de place pour le doute. Je me lève et marche dans sa direction, pour voir un peu à quoi il ressemble de près ! C’est un petit mecton, genre entrepreneur dans le bâtiment, il finit sa clope, il n’est pas franchement sexy, blond, demi-calvitie, un peu rachitique… Pas trop mon genre a priori, mais je suis tellement interloqué de me faire brancher comme ça, à distance que ma curiosité est piquée.

Je traverse la rue, direction les toilettes publiques…


Je contourne sa fourgonnette blanche, je n’ai pas besoin d’en faire beaucoup pour qu’il me suive du regard. Je traverse la rue, direction les toilettes publiques… Mais il remonte dans sa caisse, démarre et fait demi-tour pour venir de mon côté, il ralentit puis me fait un grand signe de la tête pour que je le suive. Je me mets à le suivre en me demandant ou il voulait aller, à quelques mètres devant, il met son clignotant puis stop sa voiture sur la droite de la rue. Il m’attend.

OK, mais moi je ne suis pas très chaud pour monter dans une voiture avec quelqu’un que je ne connais pas… Je décide donc de passer mon chemin, de la mater au passage en le doublant et d’attendre pour voir ce qu’il allait faire.

Il redémarre et me double pour aller prendre en marche arrière un sens unique, et se garer un peu plus loin. J’arrive à l’angle de la rue, il m’attend dans sa voiture, Je ne sais pas ce qu’il va faire, j’attends qu’il sorte de sa bagnole et me suive dans un coin du parc que j’ai découvert il y a quelques jours avec le petit mec en short bleu. Il apparaît derrière sa voiture, immédiatement je l’invite du regard à me suivre, je traverse la rue, il me regarde sans me suivre. Je stop, je le regarde encore, il me regarde, je reprends ma marche vers le parc, je prends l’entrée de du parc, je le regarde sur ma droite, je marque un arrêt. Il est venu jusqu’au coin de la rue, il ne comprend pas ou je veux en venir. Il fait demi-tour, il remonte dans sa voiture, démarre et s’en va… Je le regarde s’éloigner, je me dis que ça ne va pas le faire, mais que de toute façon il ne me branchait pas tant que ça.

lundi 21 septembre 2009

Son Short de Sport en Bas des Jambes


Quand je suis arrivé dans le parc, il était déjà là, assis sur la grosse pierre de mon ami Jarek, (le plombier polonais). Il était en train de lire… Ah, ah, ah, c’est le genre de type qui a besoin d’un alibi, lire sur un lieu de drague, mon œil ! En plus, il n’avait pas l’air très concentré sur sa lecture, je peux vous le dire, il passait son temps à mater autour de lui. Il avait une petite trentaine, il portait un petit short de sport bleu marine. Quand j’y repense ça me fait encore plus marrer, imaginer le type qui veut passer inaperçu et qui lit un bouquin en tenu de sport sur un lieu de drague… Ah ces mecs qui n’assume pas ! Bref, je passe devant lui, il me mate du coin de l’œil, mais l’un comme l’autre nous ne nous sentons pris d’une vague irrésistible de désir, c’est le moins que l’on puisse dire. Je passe mon chemin, et je l’oublie complètement.

ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre


Alors qu’il était déjà bien tard (mes petits collègues au bureau devaient probablement s’impatienter de ne pas me voir rentrer de mon déjeuner) nous nous croisons de nouveau, il se dirige vers la sortie et cette fois, faute de mieux, et ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre. Il me remarque, et nous commençons à jouer le fameux ballet d’approche-séduction, suis-moi donc que je t’attrape… Le jeu était clair, il n’y avait plus de place au doute, nous voulions la même chose. Mais il nous fallait vite trouver un nouvel endroit, car mes toilettes préférées sont fermées le lundi. Dans l’urgence, je décide d’aller dans le jardin d’un musée non loin du lieu de drague. Il me suit. C’était un jardin à l’anglaise, plein de petits recoins idéals pour nos affaires, mais malheureusement surpeuplé de gens qui prenaient leur déjeuner sur la pelouse inondée de soleil. Je tourne et je vire, presque aux abois, tout en espérant que mon petit mec en short ne perde pas confiance… Je finis par trouver un buisson un peu excentré, dans l’ombre de grands arbres, avec une petite allée qui s’enfonçait derrière des buissons particulièrement denses.

Valeureux devant l’inconnu, je me lance sur cette allée, après mettre assurer que mon nouvel ami m’avait bien vu avant que je disparaisse dans les profondeurs de se buisson insondé. C’est bon, il m’a vu. Mieux, il me suit. L’endroit est parfait, il est même possible de se glisser le long du mur d’une petite bâtisse pour se cacher derrière une épaisse rangée d’arbres. Je m’assure qu’il ne me perde pas et hop nous prenons le maquis.

Il se met tout de suite dos au mur, sort sa bite et commence à se branler. Il me regarde. Ou plutôt il regarde ma braguette, il attend que je lui montre mon gros zob. Je m’accomplis. Je lui mets la main au paquet, il place ses mains sur ses hanches et se laisse faire – à la bonne heure. Sa bite à l’air bonne, il me vient l’envie de le sucer, je dégage son gland de la main gauche, c’est un très beau gland, de belle taille avec un prépuce souple et ample. Il a du bon matos. Je prends son gland dans ma bouche, il me fait comprendre qu’il est très réceptif à mon léché, en ouvrant les cuisses, et en relâchant les muscles de tout son corps. Sa bite gonfle dans ma bouche, il devient difficile de la bouffer convenablement, trop grosse !

Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi


Il est là, en train de prendre son pied, entièrement concentré sur son centre de gravité, les cuisses ouvertes, son short abandonné en bas des jambes, sa bite dans ma bouche. Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi. Son joystick en bouche, je contrôle tout. Je lui tripote son petit trou du cul, ses fesses s’ouvrent toutes seules, elles m’attendaient, mon doigt s’enfonce sans gène dans son anus chaud, humide et naturellement lubrifié. Je me dégage pour le branler à la main, je pose ma tête sur son ventre au niveau de ses abdos, je respire son odeur intime, le parfum de son humus. Je sens qu’il ne va pas tarder à gicler, j’ai l’oreille collée sur son polo blanc immaculé, j’essaye de deviner les battements de son cœur. Il commence à ahaner, ses entrailles sont trop petites pour encaisser le volume d’air qui s’annonce, je synchronise ma branle avec son rythme cardiaque, il se cabre en arrière et prend son souffle, c’est imminent, je lui enfonce mon doigt encore plus en profondeur, il se met à cracher un jet de foutre d’une quinzaine de centimètres, un orgasme intense puis languissant lui parcours le bas ventre, d’un mouvement de la main je le vide d’une seconde giclé, il se relâche dans un soupir de plénitude. Je retire doucement mon doigt, et lui rends sa queue dégoulinante. Avant qu’il ne reprenne complètement conscience, je l’abandonne à ses vapeurs de foutre. Je repars avec les couilles toujours pleines, mais de bien belles sensations en tête et à corps.

jeudi 17 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 3/3








Il faisait très très chaud, il était en sueur. Je le mets a l’aise en ouvrant les boutons de sa chemise, oh merveille des merveilles, il a un torse superbe, comme je les aime. Un peu poilu, quelques grains de beautés, des beaux tetons déjà bien redressés et visiblement tout excités, une peau confortable, enrobé juste de ce qu’il faut, confortable je vous dis. Bref un type exceptionnel, une belle pièce… Je le sens un peu fragile, j’aime bien les traces de fragilité, d’humanité, son sourire agit sur moi comme une arme redoutable, je suis sous le charme.

Je lui lèche un téton, sa poitrine est humide de sueur, je mordille


Il me caresse la bite dans mon pantalon, j’ouvre ma braguette pour lui donner accès à mon membre tout mouillé. Tout a l’air bien parti, pourtant très vite je sens qu’il bloque, l’excitation retombe à supposer qu’elle ne soit jamais montée… Il ne décolle pas vraiment, ne veux pas y aller. Je tente de rallumer en lui baisser son slip (aux couleurs de sa compagnie, hasard ?), il est superbe, des jambes un peu musclées, des poils blonds partout. Je lui lèche un téton, sa poitrine est humide de sueur, je mordille, il semble apprécier, je passe à l’autre téton… Mais toujours pas d’étincelle, le feu ne prend décidément pas. Il ne sait pas quoi faire de ses mains, il est un peu paralysé, un peu gauche, je ne le comprends pas. Il ne sait pas donner ? N’a pas envie de jouer ?

Dans une dernière tentative, je me mets à le sucer, je réalise que je n’avais même pas pris la peine de regarder soigneusement sa bite avant de me la mettre en bouche. Aie. Je me dis qu’elle a bon goût, mais c’est un peu craignos, d’autant plus que pour avoir un meilleur contact avec ma langue et ma bouche, il dégage bien son gland en baissant son prépuce.

Après quelques secondes, l’énergie n’est pas toujours là, l’alchimie ne prend pas, je prends conscience qu’il ne se passera rien, je renonce et préfère arrêter là. Je me redresse pour me rhabiller… Il est un peu surpris, mais il sait lui aussi que, nous deux, ça ne va pas marcher ! Il me sourit, je le quitte. Je réaliserai plus tard qu’il voulait peut-être engager une relation un peu différente… Il était peut-être trouble par mon empressement ? Depuis, chaque fois que je vois un bus, je regarde si ce n’est pas lui qui conduit. On ne se refait pas !


Eh bien oui, c’est la vraie vie, parfois ça marche, bien, ou moins bien, ou pas du tout, ou à la folie ! À la lecture de la plupart de mes postes, vous vous dites peut-être que je suis un gros vantard, ou bien qu’il semble hyper facile de trouver un mec à emporter ou à consommer sur place, si on cherche au bon endroit…

Faux ! Tout n’est pas rose pour le gay que je suis… Pour vous dire la vérité, je rentre très souvent bredouille. Parfois, il n’y a personne, personne « tout court », ou personne de consommable… Des laids, des vieux, des sales, des trop jeunes, des biens sous tous rapports, mais absolument pas bandants, etc. Quand il se fait (trop) tard, il faut se résigner, la mort dans l’âme, à rentrer à la maison, en rebroussant chemin.

Sur le moment, c’est toujours difficile à admettre, rentrer maintenant c’est accepter de rentrer bredouille. Immanquablement, je me dis que si je reste encore un peu, si je fais un autre petit tour par là, un dernier, je vais peut-être croiser un superbe mec… Qui sait ? C’est un peu, comme un alcoolique qui se dit « encore un p’tit verre, pour la route », ou le fumeur qui veut finir son paquet, avant d’arrêter. Moi aussi je suis un peu accro, évidemment.

Cependant, le fait qu’il faille parfois, voire souvent, rentrer avant de s’être vidé les couilles, rend finalement la chose encore plus excitante, parce que non prédictible et rare. C’est tellement vrai que ces deux effets (non prédictibilité et rareté) sont utilisés comme technique marketing. Afin d’éviter la saturation du marché pour certains produits, ces produits sont retirés de la vente, avant qu’elle ne s’épuise totalement (ce qui créée une éventuelle frustration chez les acheteurs), et être de nouveau mis sur le marché plus tard et du même coup, relancer (artificiellement) la demande. Par exemple, Disney fait ça très bien avec ses DVD de dessins animés, qui disparaissent des rayons et qui reviennent quelques années plus tard, l’aviez-vous remarqué ?

lundi 14 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 2/3






Après avoir fait plusieurs tours de piste, je le retrouve de nouveau, nous sommes chacun sur une des branches d’un chemin en forme d’Y, il arrive sur ma droite, inévitablement nous nous acheminons sur le même chemin, dans la même direction, il lui est impossible de faire demi-tour sans passer pour un rustre… Nous nous suivons à deux mètres l’un de l’autre. Je profite de l’occasion pour le mater en détail. Il porte un pantalon assez habillé, une chemise, pas de cravate, et des chaussures genre écrase-merde, mais élégantes (des chaussures que je pourrais tout à fait porter). Enfin, nous arrivons presque ensemble à la chicane – une sorte de barrière en bois, sensée ne laisser passer que les piétons. Il a une légère avance sur moi, il veut me laisser passer, je lui fais un signe de s’engager en premier. Il me gratifie d’un grand sourire – très beau sourire. Il s’exécute, puis ralenti un peu, je passe devant lui en espérant qu’il va me suivre. Sur ce coup, j’étais un peu trop sûr de moi, il va tout droit, sans me suivre. Mais qu'est-ce qu'il est nul ce type, ce n’est pas croyable.

je le regarde droit dans les yeux et je me passe la main sur le sexe


Je me dis, maintenant ça me gonfle vraiment, je vais lui mettre les points sur les I, je fais demi-tour pour le suivre. Je ne suis pas sûr qu’il m’est vu, je fais du bruit avec mes chaussures, il se décide enfin à se retourner… Il est à environ dix mètres de moi, je le regarde droit dans les yeux et je me passe la main sur le sexe. Il était tard, cette affaire avait trop traîné. Ouf ! Il me comprend et sans tarder, il s’enfonce dans le sous-bois, à l’abri des regards. Enfin ! Je commence à saliver et à savourer par anticipation le merveilleux plan cul qui s’annonce… Je le suis. Il se dirige vers un gros arbre, et se planque derrière.

À ce moment, je me dis flûte, je voulais aller vite, ok, mais en fait ce que je veux, c’est après les civilités d’usage, pouvoir prendre mon temps et notamment déballer moi-même la marchandise. J’aime bien déshabiller les mecs. Que dis-je ? J’adore désaper les mecs ! C'est une sorte de préliminaire... Je contourne l’arbre, et là sans surprise, il était déjà la bite à l’air en train de se l’asticoter. Je ne me démonte pas, je mets la main à la pâte. Un peu gauche, il hésite à me donner le contrôle de son petit bout de chair, pourtant déjà quasiment au garde-à-vous. « Petit bout de chair » en effet, car je m’étais fourvoyé, les apparences avaient été bien trompeuses, je me dis que sa démarche improbable n’était donc pas due à la taille de ses attributs virils. Ses couilles étaient comme vides, beaucoup de peau, toutes rabougries… Étonnant.

Il portait une chemise avec les couleurs et le logo des transports publics de la ville


Néanmoins, je vous rassure, il était vraiment craquant. Et vous savez quoi ? Il portait une chemise avec les couleurs et le logo des transports publics de la ville. Terrible. Combien de fois avais-je fantasmé sur les chauffeurs de bus, en imaginant me trouver seul avec l'un d'entre eux, dans un terminus de ligne désertique. Allongé à même le sol du bus, entre les rangées de sièges… J’avais là, dans les mains, en face de moi un chauffeur de bus, un vrai, une bite et des couilles de chauffeur de bus. Bonheur.

vendredi 11 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 1/3


Ce soir-là, je tournais depuis deux bonnes heures dans mon bois favori, et rien, absolument rien, nada… Je commençais à en avoir plein les jambes et je pensais bien devoir rentrer bredouille… Quand tout d’un coup, devant moi, là sur le chemin, un type de dos…

Déjà de dos, il présentait plutôt bien l’animal, des cheveux cours blonds, une nuque dégagée, de la chair, de la matière, un beau cul et des épaules de pompiers… Bref, devant moi, c’est une sorte d’armoire à glace, un géant, avec des pieds énormes et une démarche du genre « j’ai des grosses couilles, donc je ne peux marcher comme vous autres ! ». Bon. Je me dis, une démarche pareille, des grands pieds, il a sûrement de grandes mains (vous savez que j’affectionne tout particulièrement les grandes mains), et une grosse b… ça s’annonce plutôt bien…

Je découvre une barbe blonde intégrale, une petite frimousse absolument ra-vis-sante


Je le suis déjà depuis un bon moment, je m’impatiente… Va-t-il me remarquer, ou quoi ? Enfin, il se retourne pour me jeter un coup d’œil. Je découvre une barbe blonde intégrale, une petite frimousse absolument ra-vis-sante, il ressemble un peu à Clovis Cornillac, mais en plus mûr et plus balaise !

Sans attendre, il décide de bifurquer à droite, pour aller s’asseoir sur une souche d’arbre, puis allumer une cigarette… Problèmes ! Primo, à cet endroit rien n’est possible – il est trop près du chemin et secondo, avec sa clope, il veut baiser ou avoir une conversation mondaine ? Je me dis alors que ça se présente mal.

Je passe devant lui, et voulant y croire encore un peu, je prends un autre petit sentier, que je sais plus propice au touche-pipi. Va t-il me suivre ? Hourra, il me suit, mais il prend bien son temps. Ça m’énerve, je ne comprends pas ce qu’il veut, cette affaire manque d’enthousiasme ! Finalement, pour lui mettre un peu la pression, je décide d’accélérer le pas, tout en regardant discrètement derrière moi de temps en temps, pour voir s’il essaie de me rattraper ou pas. Eh bien non, il se laisse distancer le con. Je me dis que c’est bel et bien un plan foireux. Je me résigne à abandonner ce gibier pour reprendre la chasse et en trouver un qui a vraiment envie de tirer un coup.

J’ai droit à un petit regard en coin, mais sinon, il ne semble toujours pas très motivé


Plus tard, alors que je l’avais oublié, nous nous croisons par hasard au détour d’un chemin. J’ai droit à un petit regard en coin, mais sinon, il ne semble toujours pas très motivé. Merde ! Il était pourtant canon ce mec.

lundi 7 septembre 2009

Cosaque avec un Look de Routier




Tout ceci m’avait pas mal excité, et c’est d’un pas décidé que je repars à la chasse. Le gibier est très rare ce soir, peut-être vais-je devoir faire appel à mon amie la veuve poignée ? Et puis je tombe sur ce Cosaque avec un look de routier. Un type sec, musclé, avec des grandes moustaches en V inversé (façon Cosaque, d’où le nom de mon poste !). Il est habillé avec un tee-shirt sans manche, genre maillot de foot, d’un pantalon de sport et des sandales en plastique, genre sandales de piscine. Il sort probablement de la cabine de son camion. Il me regarde le regarder, nous nous comprenons immédiatement. C’est le vrai double effet Kisscool, sans ambiguïté, aucune ! Tout est clair donc.

Sa bite ressemble à un god de sex-shops. Sublime, je vous dis


Sans traîner, nous nous dirigeons vers un endroit tranquille, et immédiatement il me montre son engin. Putain de Dieu, une énorme bête, énormes couilles aussi, le tout bien proportionné et avec quelques jolis poils blonds à la base de la bite. Sublime, je vous dis. D’ailleurs elle ressemble à un god de sex-shops. Je la prends dans la main, à pleine main, puis de l’autre main je lui prends les couilles, c’est du bonheur. Ce type il a une très belle pièce, c’est clair, mais pas seulement, en fait nous sommes aussi sur la même longueur d’onde. Rien que d’y repenser en écrivant l’histoire me fait mouiller, comme un fou !

J’ouvre mon pantalon et descend le tout le plus bas possible, il vient se coller à moi, je sens sa grosse bite mouiller dans ma main. Il me met un doigt dans le cul, nous nous faisons face, il veut m’embrasser sur les lèvres, je lui donne un bon coup de langue. Ca moustache rêche a bon goût, et je dois la dégager avec ma langue pour accéder à ses lèvres et sa langue. Un peu comme si je devais tailler à la serpe dans de la jungle sauvage. De la main droite je me branle, de l’autre de presse doucement ses couilles. Je suis aux anges.

Il me dit « Oui, oui » dans l’oreille, ma respiration s’accélère, il sent que je vais jouir, il m’encourage. Je sens que ça vient, je vais jouir, il me doigte le trou du cul, il me mouille la main abondamment avec son liquide séminal. J’en ai plein sur la jambe, se gros dégueulasse m’en met partout et me chuchote à l’oreille, « vas-y », « crache », « oui », « oui » et je me laisse aller, j’ai les jambes bien écartées pour lui donner full accès à mon trou du cul, je m’abandonne au plaisir de l’orgasme qui vient, je sens sa grosse bite humide dans ma main détrempée.

L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées


Entre les micromoments d’absence, j’entends mon cœur accélérer. La vague de bonheur monte irrémédiablement, je la laisse venir s’écraser sur mon bas-ventre. Je me mets à respirer à pleins poumons et dans une série de syncopes… Je me lâche et me mets à jouir, à jouir copieusement. L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées. Il adore me voir me vider les couilles, tout en restant dans mon cul, il se jette sur ma bite pour bouffer mon foutre, je presse ma bite de bas en haut pour lui en donner le maximum. Il me dégage le gland pour me nettoyer à fond, il avale goulûment mon foutre chaud. Je reviens sur terre lentement, il me suce doucement, pour ne pas perdre une goutte. Je débande lentement dans sa bouche.

jeudi 3 septembre 2009

Un Hétéro Irréprochable ?


Ce soir en sortant du bureau je suis allé au bois. À peine rentré sur un chemin je tombe sur le petit vieux qui aime sucer. Il se dirigeait vers la sortie, c’était à prendre maintenant ou à laisser pour aujourd’hui. Optimiste, je décide de ne pas prendre et de continuer mon chemin pour trouver mieux… Ou pour ne rien trouver ! Optimiste et un peu joueur donc.

C'est probablement le genre de type qui prétend avoir une vie irréprochable, mais qui comme beaucoup vient se vider les couilles avec des mecs dans l’anonymat du bois…


Je marche, je marche, il fait très chaud, il va sûrement pleuvoir, le ciel est sombre. Après avoir fait plusieurs fois le tour des différents endroits de drague sans succès, je me dis que finalement, j’aurais peut-être dû me faire sucer par le petit vieux. Il est vieux, pas très sexy, mails il aime tellement ça, que ça me fait plaisir, et moi j’aime bien faire plaisir. Enfin, je tombe sur ce type, il a la petite cinquantaine, un look un peu intello, peut-être un médecin, ou pire un pédiatre ? Il a les cheveux gris-blanc avec une frange remontée sur la droite, c’est le genre à se faire des brushings. Pas du tout mon style, mais j’aime bien la façon dont il me regarde, il semble me dire du regard qu’il a très envie de baiser et que je pourrais faire l’affaire. J’ai l’impression qu’il bande dans son pantalon beige à pinces, il a une belle petite bosse.

Je mate bien sa braguette et je le dépasse. Je me retourne quelques secondes plus tard, il me suit. Je marche un moment pour trouver un endroit adéquat, il me suit toujours. Enfin, je bifurque sur la droite pour quitter le chemin et m’enfoncer dans les sous-bois. Petit risque : va-t-il me suivre ? Oui bien sûr et c’est même dans la seconde qu’il me suit. Je trouve un tronc d’arbre à plat, je m’allonge dessus en attendant qu’il s’approche. Et il s’approche ! Je lui mets la main au panier immédiatement. En fait, nous sommes très à découvert, et l’endroit n’est pas discret du tout, je trouve que c’est excitant, je pense qu’il est un peu coincé et que cela va le gêner un peu… C'est probablement le genre de type qui prétend avoir une vie irréprochable, mais qui comme beaucoup vient se vider les couilles avec des mecs dans l’anonymat du bois… Il a tellement envie de baiser qu’il est prêt à se lâcher un peu ce soir et donc à faire quelques folies !

Mon plan se déroule comme prévu, il est très excité, je lui touche la bite dans son pantalon, et lui me touche aussi. Il me dit d’y aller doucement, qu’il n’a pas baisé depuis longtemps et qu’il va probablement jouir très vite. Je caresse le bout de son gland au travers du tissu de son pantalon, il me freine. Il me dit que l’endroit n’est pas idéal côté discrétion, il veut aller plus loin à l’abri des regards dans les arbres… Je souris et j’ouvre sa braguette, il comprend que je ne veux pas bouger, j’ai presque du pouvoir ce soir ! Il m’aide à sortir son sexe, il bande bien et sa bite appelle ma main et mes caresses.

je le laisse là, seul avec sa grosse bite qui dégonfle lentement


J’ouvre ma ceinture puis ma braguette. Il ne tient plus en place, dès que mon sexe est visible, il le sort de mon caleçon, et se jette dessus pour le prendre dans sa bouche, il fait descendre le prépuce pour gouter mon gland. Il ne faut pas être devin pour comprendre qu’il apprécie grandement de m’avoir dans sa bouche. Il se redresse, et en se touchant à peine, se met à jouir à grands jets de foutre. Sa frange est tombée, il est tout tremblant. En reprenant son souffle, il me lâche « désolé ». Je me rhabille et je le laisse là, seul avec sa grosse bite qui dégonfle lentement.

N'ayant pas encore craché, je repars à la chasse.

dimanche 30 août 2009

La Révolution Sexuelle et la Camaraderie Amoureuse


Michel Onfray, dans sa chronique « Diogène & Co » publiée dans Siné Hebdo1, nous parle d’Émile Armand qui « théorise l’individualisme anarchiste et la libération sexuelle2. [E. Armand] se place sous le signe de Nietzsche pour critiquer la morale sexuelle dominante : monogamie, mariage, fidélité, cohabitation, procréation et autres machines destinées à calmer les ardeurs sexuelles dionysiaques en les faisant entrer de force dans des prisons pour lesquelles elles ne sont pas faites. »

Prisons pour lesquelles elles ne sont pas faites, comme je comprends cet homme !

« Pourquoi sommes-nous passionnément amoureux d’une personne qui, d’un seul coup d’un seul, devient notre unique objet de haine des qu’elle nous signale qu’elle a passé l’après-midi dans les bras d’un autre ou les deux auront eu du plaisir sans qu’il aille d’autre chose que de l’échange d’un jour ? Pour quelles raisons la haine, devenue violence verbale, mentale, morale, physique, surgit-elle alors que nous devrions aimer le plaisir de celui ou celle qu’on aime ? À cause de la jalousie, qui est sentiment de propriétaire dont il faut se défaire parce que, comme dirait l’autre c’est du vol ! »

Sans vouloir me mesurer à ces deux auteurs, cette question de la jalousie, je me la suis déjà posée. En effet, je ne me l’explique pas, est-ce que les jaloux nous parlent d’amours ? Je présentais que non, j’apprends aujourd’hui qu’il ne s’agit que d’un sentiment de propriété, et qu’en plus c’est du vol !

« La famille ? Il faut l’abolir, car cet « État en petit » coagule l’exclusivisme et interdit la création de relations de sociabilité hédonistes. À la place, il faut une relation contractuelle ou seul le plaisir fait la loi. Ce contrat hédoniste peut se mettre en réseau dans un genre de coopératives sexuelles, qui luttent concrètement contre une sexualité soumise aux logiques du marché libéral : contre la propriété privée de la libido. »

Abolir la famille ? C’est en cours cher Émile ! Il suffit de regarder autour de soi toutes ces « familles » recomposées… Et il me semble de ma fenêtre que les gens la vivent de mieux en mieux cette famille multiforme. En espérant qu’on laisse les mômes prendre ce qu’ils veulent, ou ils veulent, s’ils veulent, sans leur coller une image de supposées victimes sans un pôpa et une môman.

« L’Émile propose une libération de toutes les fantaisies, dont le fétichisme et le sado-masochisme, l’homosexualité et le transformisme (en 1930 !). Il célèbre les associations les plus fantasques pourvu qu’elles s’effectuent dans le consentement. »

Le consentement est la règle, évidemment. Merci Émile et merci Michel de nous avoir présenté votre ami.


1. Siné Hebdo no 49 - 12 aout 2009, chez tous les bons marchands de journaux !
2. Armand Emile, La révolution sexuelle et la camaraderie amoureuse, réédité aux éditions La Découverte.

jeudi 27 août 2009

Ménage à Trois en Plein Air


Hier soir en rentrant d’un déplacement, je me suis trouvé – par le plus grand des hasards - du côté de mon parc favori. Il était 23 h 30 environ, je n’y suis jamais allé à une heure aussi tardive, j’ai eu envie d’aller faire un tour, pour voir…

Quelle surprise, le parc était plein de types qui cherchaient la même chose que moi, c’est à dire de la chair fraîche et consentante ! C’était presque trop, on aurait dit un métro aux heures d’affluence. Ils étaient partout, certains attendaient en matant de droite à gauche, parfois en reluquant sans aucune retenue. D’autres marchaient en faisant semblant de juste passer… Oui, oui, bien sûr, ils sont dans un parc à presque minuit et ils veulent nous faire croire qu’ils rentrent du bureau, ou qu’ils sont venus prendre l’air. Je me marre.

Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme


Hors, je n’aime pas l’affluence, quand c’est trop il devient impossible de faire quoi que ce soit sans avoir à partager. Je n’aime pas partager. Je m’éloigne donc un peu du rush, pour voir s’il y avait un peu moins d’action dans les allées alentour. Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme. Je ne sais pas d’où il sortait, mais il avait un sac à dos, ok, rien d’anormal, mais il avait aussi un sac qui devait contenir un ordinateur. Il faisait très très chaud cette nuit-là, et il portait un blouson ! Un blouson léger certes, mais de trop vu la température. Il devait sortir de son bureau pour le coup celui-là !

Il me remarque, je me dirige vers un endroit un peu près désert… Il me suit. Arrivé dans un coin tranquille, il ne traîne pas. Il pose ses sacs, ouvre son pantalon et le descend sur ses pieds. Rapide, le mec. Je m’avance en me touchant la bite, il m’attend en se caressant, il bande déjà bien. Je lui prends la bite, il cherche à ouvrir mon pantalon. Vu que quelqu’un est susceptible d’arriver d’un moment à l’autre, je descends mon pantalon et caleçon à mis fesses seulement. On ne sait jamais, il fait très noir, et je ne connais pas bien l’endroit à cette heure. Nous nous caressons gentiment, il se baisse pour me sucer, il fait ça très bien.

Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention


Je vois un jeune type arriver, il est à quelques mètres, il porte un short long et une chemise rouge à manches courtes. Il se touche la bite, démarche de contact, oh combien classique ;-). Faute d’obtenir une invitation nette et franche de ma part (mon suceur est trop concentré à ce qu’il fait pour le voir et donc donner son avis), il déduit qu’il peut nous rejoindre. Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention. Je ne la fais pas attendre, de la main gauche je la tripatouille et je la sens – quasi immédiatement – grandir mes doigts. Il glisse sa main dans mon dos, sous mon polo et puis redescend vers mes fesses. Il descend encore un peu plus pour m’exciter les fesses et, devinez quoi, me mettre son petit doigt dans le trou du cul…

Je suis alors très proche du nirvana, l’un à mon trou de balle, l’autre tout à mon obus (merci Gainsbourg pour l’inspiration). Je commence à me tortiller de plaisir, le plaisir qui monte, ils comprennent que ça ne va pas tarder, ils s’appliquent pour me faire jouir. Je dégage doucement le suceur sur ma gauche, je lui plaque la tète tout près de mon sexe, il a le nez dans ma touffe, je me branle pour me finir, très vite je crashe une longue giclée de foutre bleuté dans la nuit noire.

d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue


Le suceur se jette sur la bite chaude du type en chemise rouge, pour ma part, je me mets à branler le petit Arabe qui aime sucer. Il me freine, je comprends qu’il est tout prêt de jouir. Je le branle doucement pour maintenir la pression sans le faire jouir, nous attendons la chemise rouge. Nous n’avons pas attendu longtemps, il nous lâche un petit soupir, censé nous préparer au bouquet final. Je reprends en main le suceur, lui-même c’est redressé pour mieux voir la queue de son acolyte, d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue. Ils sont tout près du but, la chemise rouge part en premier, il est suivi de peu par le petit Arabe.

lundi 24 août 2009

Mon Sperme dans son Mouchoir


En rentrant du travail, j’avais pris l’habitude de faire un détour pour faire une descente sur un petit parking qui bordait la route. Le midi le parking était utilisé par les clients d’une friterie, mais la nuit, la friterie fermée, le public devenait tout autre. C’était probablement en octobre ou novembre, à cette période de l’année ou la nuit tombe plus vite, ce qui permet aux types qui travaillent dans le coin de passer par là après leur travail, sans pour autant arriver trop tard chez bobonne !

ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien


J’arrive en voiture, je me gare, je coupe les phares et j’éteins le moteur… Je constate qu’il n’y a pas foule. Ce qui n’est pas toujours une mauvaise nouvelle, car parfois il suffit d’un seul type, et d’autre part quand il y a trop de monde, rien n’est possible du fait de la proximité trop grande. Je descends de la voiture pour faire le tour du parking pour voir à quoi je peux prétendre ce soir en matant dans les voitures garées. Il faut faire un peu gaffe, car il se peut qu’un con d’hétéro prenne mal le fait de se faire mater dans sa voiture, donc méfiance et vigilance. Ce n’est pas toujours évident, car certains mecs sont très clairs et vous montrent très vite ce qu’ils sont venus chercher, mais il est toujours possible de tomber sur un mec un peu coincé, qui a très envie de passer à l’acte, mais qui doit d’abord être mis en confiance. Parfois, même s'ils prétendent le contraire, leur jeu est très clair, d’abord ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien ;-)

Bref, ce soir-là je tombe sur un type, genre VRP, enfermé dans sa voiture et qui justement a un peu de mal à répondre à mes avances. Je pars, je reviens, je mate, il mate, je me touche la bite, je passe la main dans mon pantalon, il regarde. Je m’approche de sa voiture, je suis tout près de sa portière, j’ouvre lentement ma braguette, il mate. Je passe un doigt, puis deux, dans ma braguette entrouverte, je me caresse en lui montrant le blanc de mon caleçon. Il guette le moindre mouvement de ma main, il attend le moment où je vais lui en monter un peu plus, je sens qu’il aimerait bien toucher lui-même. Comme il n’ose rien faire encore, je devine que pour lui ce ne doit pas être très courant de draguer sur un parking. Il a l’air un peu coincé, mais je suis convaincu qu’il a envie de goûter. Je me dis qu’il pense peut-être à sa femme, ses gosses, ses collègues, ces pensées, ne font que m’exciter un peu plus.

Je fais le tour de la voiture pour me retrouver du côté de la portière du passager avant. Je tente d’ouvrir la porte… pas de chance elle est fermée ! Il agit immédiatement sur le bouton d’ouverture centralisée pour m’ouvrir, puis pour me faire de la place, il met à l’arrière les quelques affaires posées sur le siège passager.

il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça


Je rentre dans son univers, je note une odeur de cuir et de parfum masculin, Vétiver ou quelque chose dans le style. Je m’installe, il incline mon siège pour m’allonger un peu. Et là, je comprends que la glace est rompue, car il me met carrément la main sur le sexe, ma braguette est toujours ouverte et il glisse sa main dans mon pantalon. Il est gêné par ma ceinture, je l’aide en détachant la boucle et en ouvrant le bouton de mon pantalon. Il est tout existé, il me caresse les jambes au travers de mon pantalon, il arrive à mes chaussures, il passe un doigt dans ma chaussure et la main à l’intérieur du bas de mon pantalon. Puis il me retire une chaussure, doucement, il la pose sur le sol, il caresse mon pied dans sa chaussette, il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça. Il revient vers mon sexe, remonte ma chemise pour découvrir mon ventre, descend un peu mon pantalon et mon caleçon, il passe sa main entre mes cuisses, il est aux anges !

Je mouille comme une bête, mais je suis encore mou, il me prend la bite dans sa bouche et commence à me faire une fellation de derrière les fagots. Je lui guide la main vers mon trou du cul, il comprend instantanément ce que je lui demande. Je savoure pleinement ses caresses. De mon côté je lui touche la bite bien raide, que je sens encore gonfler dans ma main. Je ne suis plus très loin de l’orgasme, il sort un mouchoir en tissu, qu’il vient placer sur mon ventre. Je comprends qu’il a l’intention de récupérer mon foutre pour un usage futur. Je me mets à jouir en faisant bien attention de viser correctement sur le mouchoir, de ne rien perdre. Après, il nettoie précautionneusement ma bite avec son mouchoir, puis le repli soigneusement avant de le mettre dans sa poche. Je me rhabille, puis quitte la voiture en ayant le sentiment de mettre bien vidé les couilles.

vendredi 21 août 2009

Un Mec Offert, qui se Laisse Caresser… 2/2




Je ne me fais pas prier. J’avance vers lui, je suis sur son côté droit, à hauteur de son sexe. Doucement, prêt à reculer en cas de mauvaise réaction, je pose la main sur son paquet. Toujours les yeux fermés, il ne bouge pas. J’en déduis qu’il approuve. Je tente de cerner sa bite au travers de son pantalon, il bande un peu… Le fait de caresser un type qui dort (ou fais semblant de dormir) m’excite au plus haut point.

Il a peu de poils, la peau très blanche, presque laiteuse. Son sexe commence à prendre beaucoup de place dans son petit slip blanc


Je décide d’aller un peu plus loin, il n’a pas de ceinture, j’ouvre le bouton du pantalon, puis la fermeture éclair de sa braguette. J’entrouvre largement sa braguette, pour voir apparaître son slip blanc de tissu fin, magnifiquement et copieusement rempli. Je tripote sa bite au travers du tissu de son slip. Puis je passe ma main gauche sous son tee-shirt pour lui caresser la poitrine. Il ne bronche pas, c’est le pied absolu. Avec la main gauche, je remonte son tee-shirt, pour découvrir son ventre et ses pectoraux légèrement musclés. Il a peu de poils, la peau très blanche, presque laiteuse. Son sexe commence à prendre beaucoup de place dans son petit slip blanc, je soulève l’élastique du haut de son slip pour laisser sa bite prendre un peu d’aise. Hop ! La petite bête montre sa tète.

C’était un peu comme si je jouais du piano debout, d’une main je lui touchais la bite et de l’autre je savourais son grain de peau sous son tee-shirt. Il laisse tomber sa main droite de sa poche, pour me caresser l’intérieur des cuisses. Je mouillais comme un fou dans mon petit caleçon… J’ouvre mon pantalon, puis baisse mon caleçon jusqu’en bas. Il pose sa main entre mes jambes, sans bouger. Sa bite avait l’air trop bonne, je décide de lui sucer le bout du gland. Il apprécie grandement, me le montre en écartant un peu plus les cuisses. Je baisse son slip, il lève les fesses pour me faciliter le travail. J’ai accès libre à tout ce que je veux. Je lui passe la main entre les jambes, il accompagne mon geste en écartant encore un peu plus les jambes. J’ai la bite collée sur sa hanche, je bande comme un fou… lui aussi ! Dieu que sa bite est belle.

Dans un râle, il se lâche le premier, il crache un long jet de foutre, je fais de même dans le dixième de seconde qui suit


De la main gauche je le branle, en appuyant sur sa bite vers le bas, je me recul pour me branler de la main droite. Je lui fais dos, il a accès à mon petit trou du cul, il ne lui faut pas longtemps pour y glisser le bout d’un doigt. Je me rends compte qu’il va jouir rapidement, car il commence à faire le fou avec son doigt. De mon côté cela ne va pas traîner non plus. Dans un râle, il se lâche le premier, il crache un long jet de foutre, je fais de même dans le dixième de seconde qui suit. Je le termine en ralentissant la branle doucement, il a des spasmes dans le corps accompagnés de montées de sperme. Je lui repose sa bite sur le ventre. Il respire, moi aussi. Enfin, il sort des mouchoirs en papier de sa poche, il m’en propose un, je l’accepte. Nous nous essuyons et remballons le matos. Ça a été très bon !

mardi 18 août 2009

Un Mec Offert, qui se Laisse Caresser… 1/2


Ce matin je lis mon horoscope : « Aujourd'hui, célibataires, vous allez connaître l'amour raffiné dont vous rêviez sans cesse. Vous rencontrerez un partenaire intelligent ou une personnalité d'élite. Vous vous découvrirez de vraies affinités électives, une pensée politique, philosophique ou religieuse commune, ou encore des aspirations ou des préoccupations sociales semblables. »

moi ce que j’aime, c’est les mecs un peu enrobés, avec notamment de gros doigts et de grosses mains, j’adore sentir une grosse main dans mon slip


C’est pas mal, hein ? Je me dis, c’est le jour pour aller traîner dans mon parc préféré, car la chasse promet d’être heureuse. Manque de chance, je n’ai pas eu le temps d’y aller après mon déjeuner, donc je suis allé me balader au bois à la sortie du bureau…

J’étais à peine arrivé, que je tombe sur un petit asiatique, il marchait dans ma direction et sous le prétexte de se nettoyer l’œil, remonte son tee-shirt, pour me montrer son torse et surtout le début de ses poils pubiens. Touffe de poils que laissait apparaître son pantalon taille basse, un petit pantalon blanc de lin je suppose… Le problème, c’est que ce n’est pas du tout mon style de mec. Trop mince et trop fin. Aucune envie de faire quoi que ce soit avec un type pareil, d’ailleurs même si je le voulais, je ne pourrais pas. Non, moi ce que j’aime, c’est les mecs un peu enrobés, avec notamment de gros doigts et de grosses mains, j’adore sentir une grosse main dans mon slip ! Enfin, il n’a pas besoin d’avoir de grosses mains, mais elles ne doivent pas être fines. Ca non ! Je passe mon chemin, il n’insiste pas.

Je marche, je marche, et rien. Rien du tout. Un petit vieux, décidément trop vieux, une espèce de type imbaisable, un cadre dynamique en cravate, genre banquier, ils ne me font pas bander les banquiers ! Un gamin, trop jeune pour moi. Bref, l’enfer, rien à se mettre sous la queue, merde !

Sur le dos, ses bras sont le long de son corps, il est offert, là, son beau paquet à disposition… Peut-être dort-il vraiment ?


Je marche, je marche, je m’enfonce dans les sous-bois… Et j’aperçois au loin, un type allongé sur un tronc d’arbre posé à plat à un mètre du sol. Je m’approche, il a les yeux fermés. Je l’observe discrètement, il est en tenu de travail, pantalon de coton bleu et tee-shirt bleu aussi, avec le nom de son entreprise brodé sur la poitrine. Il est plutôt du genre trapu et viril, les cheveux courts, châtains foncés, bouclés. Il a un petit tatouage sur le bras droit. Ses bras sont le long de son corps, avec les mains dans les poches arrière du pantalon. Il est offert, là, son beau paquet à disposition… Peut-être dort-il vraiment ?

J’avance doucement. Il me remarque, il entrouvre les yeux, me regarde, me sourit. Ses jambes sont croisées au niveau de ses chevilles, il sort une main d’une de ses poches, pour se toucher le paquet, et écarte un peu les jambes en les remontant. Il remet sa main dans sa poche arrière, il redescend les jambes en lâchant un petit soupir de bien-être, il est parfaitement détendu et n’attend qu’une seule chose.

samedi 15 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 2/2




Nous nous rhabillons, nos bites respectives ne comprennent pas encore pourquoi nous remballons avant de conclure. Ce n’est que pour mieux sauter, c’est le cas de le dire ! Puis nous sortons du parc pour nous diriger vers son appartement. Nous marchons, nous marchons, le chemin semble un peu plus long que prévu. Il marche très vite, je le suis… Après une dizaine de minutes de marche, nous arrivons enfin en bas devant sa maison. Il cherche ses clés, ouvre la porte, me fait rentrer.

Il n’y a qu’une seule pièce, qui fait cuisine et salle à manger. C’est meublé un peu dans le même style « vintage » que sa chemise au col long et son pantalon patte d'eph… Au milieu de la pièce, il y a une échelle très large qui permet d’accéder à un grenier via une ouverture dans le plafond. Il allume la lumière de la pièce du haut à partir d’un interrupteur en bas, il me fait signe et me dit vas-y monte.

Je m’exécute, je gravis l’échelle, il me suit tout de suite derrière. Arrivé en haut, il me bloque et me dit attend, le haut de mon corps dans ce que je découvre être la chambre, mais le bas est toujours sur l’échelle, il passe par derrière, et ouvre ma ceinture (il sait comment faire cette fois), ouvre le bouton de mon pantalon, ma braguette, il défait mes lacets de chaussures, retire mes chaussures en les laissant tomber parterre. Il tire mon pantalon vers le bas pour me le retirer, je participe activement en levant la bonne jambe au bon moment, il jette mon pantalon en bas de l’échelle. Je suis en slip et en chaussettes, perché sur le sommet de l’échelle, je ne peux pas voir ce qu’il fait, car il est en dessous de moi.

Il me caresse l’intérieure des cuisses, puis les fesses aussi en passant les mains par l’ouverture des jambes du slip. Il me malaxe les fesses, d’une main, de l’autre il se déssape. Je suis évidemment très excité, un peu inquiet aussi de ne pas voir ce qu’il fait. Mais putain que tout ça est excitant.

Il semble parfaitement maîtriser sa gymnastique acrobatique sur son échelle, il retire toutes ses fringues, sans perdre l’équilibre à un seul moment. C’est tout a fait remarquable, car pendant qu’il se déshabille, sur son échelle donc, il me tripote et m’embrasse l’intérieure des cuisses et la base des fesses. Il est complètement à poil maintenant, il baisse mon slip, en me mordillant les fesses, et en me caressant les couilles et la bite. Il me lèche le bout du gland par derrière, d’instinct j’ouvre les jambes pour le laisser besogner à son aise.

Puis après quelques minutes, il se concentre sur mon petit trou du cul. Il balade un doigt, puis le même doigt, mais enduit de salive… Je crois comprendre qu’il se sert aussi de son pouce pour exercer des pressions sur mon petit trou. Toujours par derrière il m’enveloppe les deux couilles dans une de ses grandes mains, et il vient poser sa bouche sur mon anus. Il m’embrasse d’abord puis petit à petit il me touche avec sa langue humide et chaude. D’une main il me malaxe les couilles, et de l’autre il écarte doucement mes fesses, pour approcher de plus mon trou du cul avec sa bouche et sa langue.

Il me fait monter l’échelle d’un barreau pour que je puisse me mettre à plat ventre sur le sol de la chambre, mais les fesses et le bas du corps toujours suspendu au plafond sur l’échelle. Avec cette position je ne peux plus me toucher, lui seul a accès à ma bite et au reste… Il me lèche le cul en s’appliquant comme un pro, il semble aussi trouver du plaisir à me « rincer » le cul avec sa salive et sa langue. Parfois il me relèche le bout de la queue, les couilles aussi, puis revient toujours sur mon trou du cul. Sans m’en être vraiment rendu compte, je réalise que mes jambes sont maintenant très ouvertes, et je comprends pourquoi cette échelle est très large – c’est plus pratique pour baiser !

Puis, sans le voir, je devine qu’il se lèche un doigt, pour me le mettre dans le cul. Tout doucement. Il m’a tellement bien travaillé que son doigt rentre comme dans du beurre. Plus tard, je l’entends se cracher dans une main et s’enduire la bite de salive. Il passe sa main gauche sur mon ventre, me tire un peu vers lui, comme pour me prendre en main, il monte de quelques barreaux, je sens le devant de ses cuisses sur l’intérieure des miennes. Il est là, il se met en position, me pose sa queue sur le trou du cul. Me maintient l’abdomen avec sa main gauche, se tient à l’échelle de la main droite. Je le sens faire glisser sa bite entre mes fesses, elle est freinée au passage de mon anus dilaté, il pousse vers le haut pour passer l’obstacle sans me pénétrer tout de suite. J’ai le cul arcbouté, je me mets tout naturellement dans l’axe de sa bite. Mon corps entier l’implore de m’enculer. Je suis en transe, je ne sais plus comment je m’appelle, je n’ai plus qu’un seul objectif mono-maniaque, me faire prendre. Là, maintenant, je ne peux plus attendre, c’est physiologique, c’est comme avoir très chaud, très soif, très soif de sa grosse bite, très soif de baise et de foutre.

Il comprend absolument tout, ce type est un expert. Il finit par me foutre le bout de sa queue dans le cul. Mon cul, mon corps tout entier l’accueille avec bonheur. Il me dit « Tiens », « Tiens », « Prends-moi dans ton petit cul »… Il me prend la queue de la main gauche, et commence a me branler, ma bite est dans l’espace… Enfin, il me met toute sa bite dans le cul, et me dit « T’aimes ça salope ! », avant qu’il finisse sa phrase je lâche un cri de jouissance, et je jouis dans la cuisine du haut de l’échelle. Instantanément, il se met à jouir aussi entre mes fesses… Il a deux ou trois secousses qui lui résonnent dans tout le corps. Il se laisse tomber doucement sur mon dos, nous sentons nos cœurs battent à 100 à l’heure… Nous sommes essoufflés. Je devine nos spermes se mélanger sur le carrelage de la cuisine.

jeudi 13 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 1/2



C’était un parc, le long d’une voie express, il y avait une entrée à chaque extrémité, ce qui rendait l’endroit très sécurisant. Je le traversai souvent en rentrant du travail, ou bien le soir après que la nuit soit tombée. Une nuit, je tombe sur ce type, que j’avais déjà rencontré (et consommé sur place !), une petite cinquantaine, massif et un poil bourru, il avait un peu d’Harvey Keitel.

Nous nous tournons autour un instant, je ne suis pas sûr qu’il m’ait reconnu. Je l’attends derrière un buisson, il arrive, lentement. Il vient vers moi, je le regarde, je dirige mon regard vers sa braguette de pantalon… À juste titre, il interprète mon regard comme une invitation !

Il me pose la main sur le sexe au travers de mon pantalon, je fais de même. Il a l’air très excité, il cherche à ouvrir la boucle de ma ceinture, je l’aide. Il déboutonne mon pantalon, ouvre la fermeture éclair de ma braguette, ne prenant pas le temps d’ouvrir davantage, il plonge la main dans mon slip. Quel plaisir de sentir sa grosse main chaude collée à mon sexe par la pression du slip. Il retourne la main, prend un peu d’aise dans ce slip décidément trop juste pour contenir cette grosse main pleine de doigts.

Pendant qu’il me malaxe tout ce qui lui tombe à porté de main dans mon slip, je ne me laisse pas prier pour ouvrir moi-même son pantalon. Il porte un pantalon un peu ringard, genre fringue d’occasion, une chemise avec un col allongé, mais dans son cas il ne s’agit pas de vêtements d’occasion, c’est probablement ce qu’il porte tous les jours ! Bref, j’ouvre son pantalon « vintage », pour mettre à jour son slip d’homme ordinaire (hum…), je mets la main dans le slip, puis d’un mouvement de la main je mets à l’air libre l’ensemble des bijoux de famille. On respire. Il commence à bander, mais l’objet est tout à fait gérable. Il se balade dans mon slip, le déforme à tout va. Je lui triture la bite, les couilles, les couilles, la bite. Nous apprécions l’un et l’autre nos caresses respectives.

Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive.


J’ouvre un peu plus son pantalon, avec les deux mains j’attrape les bords de son slip sur ces deux hanches. Je baisse le tout… Le plus bas possible. Son pantalon patte d’éléphant se révèle extrêmement conciliant. Bonheur. Il a la queue entre les jambes. Je délaisse un peu cette bite qui ne demande qu’à être papouillée. Je me concentre sur son torse, son ventre, je caresse son corps en passant les mains partout, il ne me semble pas avoir oublié le moindre centimètre carré de peau. Il a la peau douce, quelques poils durs de-ci de-là. Je mouille comme un malade. Je maintiens sa chemise ouverte et levée, je m’attarde sur ses gros tetons, je les maltraite entre mes doigts, je les mordille. Sans perdre le contact de sa peau avec ma bouche et ma langue, je descends du sein droit vers son nombril, par le milieu de son thorax, je sens ses poils durs sur ma langue. Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive. J’y découvre un petit goût de sueur, qui m’excite beaucoup et me donne envie de le lécher davantage pour extraire ce suc savoureux. La salive dégouline sur son ventre, vient se perdre dans ses poils pubiens… Je prends mon temps. Je quitte enfin le nombril, toujours sans perdre le contact, je descends vers sa grosse bite. Il bande comme un fou, je la sens se cogner sur mon cou et ma gorge. Il me tient la tète par derrière, quand il veut que je m’attarde, il m’appui sur la tète, doucement, mais fermement. Je ne fais pas absolument ce que je veux et j’adore ça.

Enfin, je touche sa bite avec mon menton, elle est dure comme du béton. J’ai plein de salive, de bave dans la bouche je lèche ses poils, de nouveau ce parfum de transpiration m’envahit la bouche. Je me dis qu’il a dû avoir chaud dans la journée… Je le lèche entre les couilles et l’intérieure des cuisses… Je lui attrape les couilles, et lui maintient la base de la queue pour pouvoir prendre son gland en bouche. Je le suce doucement, son prépuce recouvre toujours son gland. Délicatement, toujours en le caressant dans ma bouche, je tire sur la peau de sa bite, pour ouvrir le prépuce et sentir en direct la douceur de son gland dans ma bouche et son liquide se rependre dans ma bouche. À ce moment il lâche un tout petit cri de jouissance, une sorte de soupir appuyé. J’en déduis que je fais du bon boulot.

il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».


Nous sommes au milieu d’un buisson dans ce parc désert. Nous avons nos pantalons baissés et nous nous tripotons avec bonheur. Je lui astique le dard, il semble apprécier au plus haut point, au bout de quelques minutes, il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? J’habite à deux pas d’ici ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».

mardi 11 août 2009

Portrait Chinois


J’adore apprendre des choses personnelles sur les blogueurs que je lis. Sans vous révéler d’informations confidentielles, je me suis prêté au jeu du Portrait Chinois, histoire de lâcher quelques infos qui vous permettront de me connaître un peu mieux, en satisfaisant votre curiosité (qui n’est pas un vilain défaut ;-).




Si j’étais une personnalité


Christian Lacroix pour les plus « coutures » de mes amis, Pascal Obispo pour ceux qui écoutent ce type de musique, et enfin Fabien Barthez (le footballeur) pour les plus beaufs d’entre eux. Ces derniers ont bien évidemment totalement tort :-)).

J’aime beaucoup Christian Lacroix, le voir et aussi l’entendre parler. J’ai complètement flashé sur beaucoup de ses modèles, pour leurs styles extrêmement féminins et puis les juxtapositions de couleurs, du rouge, de l’orange, du violet… C’est d’une élégance folle, une élégance de lumière. J'aime tellement la lumière.

J’ai une cravate de lui. Immettable !




Si j’étais une musique


En ce moment (et depuis un moment !), la musique du film Solaris écrite par Cliff Martinez. Il s’agit du remake de 2003 par Steven Soderbergh avec George Clooney et Natascha McElhone.

Cette musique est « pla-nan-te », elle produit sur moi un quasi-état de transe, il me semble que la mélodie affecte directement mon inconscient sans passer par la casse réflexion. Il est vrai que j’ai adoré le film pour la même raison, cette histoire raisonne en moi d’une façon un peu troublante. Vous allez peut-être me trouver morbide (ce que je ne suis pas du tout), mais retrouver des personnes décédées, des êtres chers, leur parler, les toucher comme si elles étaient toujours avec nous, n’est-ce pas un vieux rêve humain ? Un peu comme celui de pouvoir voler ?




Si j’étais un film


Mort à Venise de Visconti (petit nom Luchino). Ce film est dingue, énorme.

Il ne s’y passe presque rien, quasiment que du silence et pourtant ce que vit Dirk Bogarde est bouleversant. Malgré son intelligence et sa culture, son personnage ne sera pas en mesure d’appréhender ce qui lui arrive. Analphabète des sentiments humains, il se perdra dans les interdits et autre cul-de-sac de sa conscience. Face à des sentiments trop grands pour lui, cet homme va péter les plombs, étouffé par les conventions, par l’inhibition de son propre conformisme. Même si inconsciemment, Bogarde pense se protéger en enfouissant tout ça très profondément, là où lui-même ne pourra plus rien retrouver. Il va devenir fou puis mourir, conditionné depuis l’enfance à ne pas accepter la nature de ses sentiments, formaté par la morale de l’époque. Être accepter par les siens, ou par soi pour vivre sa différence, il finira par crever de ne pas faire de choix, à force de se nier à ce point.




Si j’étais une pièce de théâtre


Tartuffe de Molière. Bon, je passe vite sur l’aspect religieux, pourtant essentiel dans la pièce, mais qui me fait gerber. Dieu est une invention de l’homme qui a peur de la mort, je n’ai pas peur de la mort !

Non, ce qui m’éclate dans cette pièce, c’est le côté « fais-ce que je dis, mais pas ce que je fais ». Ainsi, dans la vie de tous les jours, dans la rue, au travail, dans les palais de justice, etc. nous sommes entourés de gens comme ça, dont la vie n’est qu’un gros mensonge, mais qui nous jugent, du haut de leur moralité à la con.




Si j’étais un animal


Une « royale bête », un « nuage chaud au frais museau » comme dit Brigitte Fontaine dans sa chanson Chat.

Pour moi, les chats sont des êtres de plaisirs et de jouissance, de grâce, et à la différence des autres animaux, c’est clair, ils en sont conscients. Si vous en avez un, regarder le dormir, respirer, le poil assoupi dans le soleil et les oreilles éveillées, sentinelles. Le chat ne cède jamais, le chat est indépendant, il décide (seul) de ce qui est bon pour lui. Le chat sait, c’est tout.




Si j’étais une peinture


Un bleu Klein. Parce que c’est élitiste, beaucoup de gens passent devant un bleu Klein et ne comprennent rien.

D’abord, je trouve que cette œuvre est osée, aujourd’hui toujours, mais à l’époque recouvrir une toile de pigments bleus, c’était franchement culotté. D’autre part, ça fonctionne ! Ce bleu est magico-magnifique.

Posté (ou prostré ?) devant la toile, on la regarde, et on perçoit une profondeur, une notion d’infini, un appel du vide. C’est un peu comme si nos yeux étaient fermés, comme si nous étions en nous-mêmes, en introspection. Bref, c’est presque métaphysique. Je pense cependant que le procédé est simplissime, il suffit d’arrêter de chercher, et juste d’écouter, de sentir, de toucher du regard.




Si j’étais une bâtisse


Une chapelle romane, au milieu de la nature, dans les champs, toute simple. Tout en rondeur, chargée, symboliquement chargée. Quelques fresques sur les murs intérieurs, murs intimes de la chapelle, ou bribes de fresques devrais-je dire, effacées, comme un souvenir presque oublié.

Des vieilles pierres, des volumes et des murs ronds, épais, des découpes aux courbes généreuses pour laisser la lumière entrer. Des toitures en tuiles ocre, lavées par les siècles de soleil. Des vieilles pierres qui parlent aux gens, à nos racines, à ce que nous sommes, finalement. Qui parlent pour raconter les hommes et les femmes, les souffrances et les bonheurs, la vie.

Et surtout pas de fioritures gottiques, de mise en scènes idolâtres, pas de vitraux psychédéliques et aguicheurs. Les couleurs du ciel et de la terre me suffisent.

lundi 10 août 2009

Ménage à trois, à Paris ? 1/2


Ce week-end, mon homme et moi, nous sommes allez à Paris pour faire les touristes (d’où la photo de la tour Eiffel qui illustre ce poste). Samedi soir, nous étions au restaurant vers le pont Louis Philippe et juste à côté de nous se trouvaient deux types, qui d’après ce j’ai pu comprendre en écoutant leur conversation venaient de se rencontrer dans un lieu « proche de Notre Dame ». En fait, la conversation avançant, il est très vite devenu de plus en plus clair que l’endroit proche de Notre Dame où ils s’étaient rencontrés devait être un bar gay dans le marais…

C’est celui face à moi qui parlait le plus, il essayait d’impressionner son nouvel ami avec sa culture… L’autre, italien, semblait moyennement touché, mais acquiesçait poliment et cachait son manque d’intérêt en posant des questions de-ci de-là… Mon mec avait complètement flashé sur l’Italien, son accent, ses yeux, etc. Bref, il le trouvait vraiment craquant.

Le plus volubile, lui, son truc c’était les cathédrales ! Il en était féru. Pourquoi pas ? À l’entendre, le bleu des vitraux de la cathédrale de Chartres vaut le détour (donc si vous passez par là…). Il énumérait une sorte de tour de France des cathédrales, ville par ville… Chaque cathédrale étant accompagnée d’une petite présentation touristique de sa ville… Personnellement, j’ai été surpris qu’à propos de Reims (et de sa cathédrale !) il ne dise pas un mot du champagne. Enfin quoi, le champagne, un soir de drague, c’est tout de même plus adapté que les cathédrales, non ? J’avais une envie folle d’intervenir pour corriger ce manque. Je me suis retenu. J’ai eu tort, vous le comprendrez plus tard.

Une fois leur dîner terminé, l’Italien se lève de table. Je ne le remarque pas, mais mon mec me dit, en regardant en coin dans sa direction, qu’il se joue quelque chose en ce moment. Qu’il me dira tout quand nous serons seuls… Waouh, je n’ai rien vu, de quoi s’agit-il ?

À Suivre...