vendredi 25 septembre 2009

Drague à Distance, Mais pas sur Internet !


Ce midi je me suis fait brancher comme jamais. J’étais assis sur un banc dans mon parc habituel, de ma position stratégique, je voyais passer les mecs qui s’engouffraient dans une sorte de jardin enclos, dans lequel il était possible de trouver de la viande fraîche… Certains consommaient sur place, personnellement, estimant le coin trop à découvert, je me contente plutôt de chasser puis d’emporter ma proie vers des toilettes publiques non loin ou un autre coin tranquille dans le parc voisin, pour savourer mon plaisir à l’abri des regards. C’est d’ailleurs à partir de ce poste d’observation que j’ai cueilli le beau Jarek, le fameux pompier polonais.

je focalise sur le type, car mon radar a détecté un touchage de bite


Bref, tel un périscope je trimbalais mes yeux de droite à gauche en scrutant l’horizon. D’un seul coup mon radar s’arrête sur un type, à l’extérieure du parc, sur le trottoir, derrière la grande porte en fer forgé. Inconsciemment, je mets au point ma vision longue portée, je focalise sur le type, car mon radar a détecté un touchage de bite !! Je n’y crois pas, il est à 50 mètres de moi, il me regarde au travers des volutes de fers forgés, en se touchant la bite. Carrément dans le genre je me touche et je veux que tu me voies… Incroyable, le type fume une clope à côté de sa voiture et là, l’air de rien, sans même entrer dans le parc, il me lance une invitation tout à fait formelle ! Cette façon d'opérer à distance, c’est tellement improbable, que j’attends sans bouger qu’il se touche encore une fois la bite, pour valider mon raisonnement…

Et de deux ! C’est ça oui, il se touche la bite une deuxième fois, je veux dire il se touche franchement la bite, en me regardant. Cette fois si, plus de place pour le doute. Je me lève et marche dans sa direction, pour voir un peu à quoi il ressemble de près ! C’est un petit mecton, genre entrepreneur dans le bâtiment, il finit sa clope, il n’est pas franchement sexy, blond, demi-calvitie, un peu rachitique… Pas trop mon genre a priori, mais je suis tellement interloqué de me faire brancher comme ça, à distance que ma curiosité est piquée.

Je traverse la rue, direction les toilettes publiques…


Je contourne sa fourgonnette blanche, je n’ai pas besoin d’en faire beaucoup pour qu’il me suive du regard. Je traverse la rue, direction les toilettes publiques… Mais il remonte dans sa caisse, démarre et fait demi-tour pour venir de mon côté, il ralentit puis me fait un grand signe de la tête pour que je le suive. Je me mets à le suivre en me demandant ou il voulait aller, à quelques mètres devant, il met son clignotant puis stop sa voiture sur la droite de la rue. Il m’attend.

OK, mais moi je ne suis pas très chaud pour monter dans une voiture avec quelqu’un que je ne connais pas… Je décide donc de passer mon chemin, de la mater au passage en le doublant et d’attendre pour voir ce qu’il allait faire.

Il redémarre et me double pour aller prendre en marche arrière un sens unique, et se garer un peu plus loin. J’arrive à l’angle de la rue, il m’attend dans sa voiture, Je ne sais pas ce qu’il va faire, j’attends qu’il sorte de sa bagnole et me suive dans un coin du parc que j’ai découvert il y a quelques jours avec le petit mec en short bleu. Il apparaît derrière sa voiture, immédiatement je l’invite du regard à me suivre, je traverse la rue, il me regarde sans me suivre. Je stop, je le regarde encore, il me regarde, je reprends ma marche vers le parc, je prends l’entrée de du parc, je le regarde sur ma droite, je marque un arrêt. Il est venu jusqu’au coin de la rue, il ne comprend pas ou je veux en venir. Il fait demi-tour, il remonte dans sa voiture, démarre et s’en va… Je le regarde s’éloigner, je me dis que ça ne va pas le faire, mais que de toute façon il ne me branchait pas tant que ça.

lundi 21 septembre 2009

Son Short de Sport en Bas des Jambes


Quand je suis arrivé dans le parc, il était déjà là, assis sur la grosse pierre de mon ami Jarek, (le plombier polonais). Il était en train de lire… Ah, ah, ah, c’est le genre de type qui a besoin d’un alibi, lire sur un lieu de drague, mon œil ! En plus, il n’avait pas l’air très concentré sur sa lecture, je peux vous le dire, il passait son temps à mater autour de lui. Il avait une petite trentaine, il portait un petit short de sport bleu marine. Quand j’y repense ça me fait encore plus marrer, imaginer le type qui veut passer inaperçu et qui lit un bouquin en tenu de sport sur un lieu de drague… Ah ces mecs qui n’assume pas ! Bref, je passe devant lui, il me mate du coin de l’œil, mais l’un comme l’autre nous ne nous sentons pris d’une vague irrésistible de désir, c’est le moins que l’on puisse dire. Je passe mon chemin, et je l’oublie complètement.

ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre


Alors qu’il était déjà bien tard (mes petits collègues au bureau devaient probablement s’impatienter de ne pas me voir rentrer de mon déjeuner) nous nous croisons de nouveau, il se dirige vers la sortie et cette fois, faute de mieux, et ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre. Il me remarque, et nous commençons à jouer le fameux ballet d’approche-séduction, suis-moi donc que je t’attrape… Le jeu était clair, il n’y avait plus de place au doute, nous voulions la même chose. Mais il nous fallait vite trouver un nouvel endroit, car mes toilettes préférées sont fermées le lundi. Dans l’urgence, je décide d’aller dans le jardin d’un musée non loin du lieu de drague. Il me suit. C’était un jardin à l’anglaise, plein de petits recoins idéals pour nos affaires, mais malheureusement surpeuplé de gens qui prenaient leur déjeuner sur la pelouse inondée de soleil. Je tourne et je vire, presque aux abois, tout en espérant que mon petit mec en short ne perde pas confiance… Je finis par trouver un buisson un peu excentré, dans l’ombre de grands arbres, avec une petite allée qui s’enfonçait derrière des buissons particulièrement denses.

Valeureux devant l’inconnu, je me lance sur cette allée, après mettre assurer que mon nouvel ami m’avait bien vu avant que je disparaisse dans les profondeurs de se buisson insondé. C’est bon, il m’a vu. Mieux, il me suit. L’endroit est parfait, il est même possible de se glisser le long du mur d’une petite bâtisse pour se cacher derrière une épaisse rangée d’arbres. Je m’assure qu’il ne me perde pas et hop nous prenons le maquis.

Il se met tout de suite dos au mur, sort sa bite et commence à se branler. Il me regarde. Ou plutôt il regarde ma braguette, il attend que je lui montre mon gros zob. Je m’accomplis. Je lui mets la main au paquet, il place ses mains sur ses hanches et se laisse faire – à la bonne heure. Sa bite à l’air bonne, il me vient l’envie de le sucer, je dégage son gland de la main gauche, c’est un très beau gland, de belle taille avec un prépuce souple et ample. Il a du bon matos. Je prends son gland dans ma bouche, il me fait comprendre qu’il est très réceptif à mon léché, en ouvrant les cuisses, et en relâchant les muscles de tout son corps. Sa bite gonfle dans ma bouche, il devient difficile de la bouffer convenablement, trop grosse !

Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi


Il est là, en train de prendre son pied, entièrement concentré sur son centre de gravité, les cuisses ouvertes, son short abandonné en bas des jambes, sa bite dans ma bouche. Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi. Son joystick en bouche, je contrôle tout. Je lui tripote son petit trou du cul, ses fesses s’ouvrent toutes seules, elles m’attendaient, mon doigt s’enfonce sans gène dans son anus chaud, humide et naturellement lubrifié. Je me dégage pour le branler à la main, je pose ma tête sur son ventre au niveau de ses abdos, je respire son odeur intime, le parfum de son humus. Je sens qu’il ne va pas tarder à gicler, j’ai l’oreille collée sur son polo blanc immaculé, j’essaye de deviner les battements de son cœur. Il commence à ahaner, ses entrailles sont trop petites pour encaisser le volume d’air qui s’annonce, je synchronise ma branle avec son rythme cardiaque, il se cabre en arrière et prend son souffle, c’est imminent, je lui enfonce mon doigt encore plus en profondeur, il se met à cracher un jet de foutre d’une quinzaine de centimètres, un orgasme intense puis languissant lui parcours le bas ventre, d’un mouvement de la main je le vide d’une seconde giclé, il se relâche dans un soupir de plénitude. Je retire doucement mon doigt, et lui rends sa queue dégoulinante. Avant qu’il ne reprenne complètement conscience, je l’abandonne à ses vapeurs de foutre. Je repars avec les couilles toujours pleines, mais de bien belles sensations en tête et à corps.

jeudi 17 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 3/3








Il faisait très très chaud, il était en sueur. Je le mets a l’aise en ouvrant les boutons de sa chemise, oh merveille des merveilles, il a un torse superbe, comme je les aime. Un peu poilu, quelques grains de beautés, des beaux tetons déjà bien redressés et visiblement tout excités, une peau confortable, enrobé juste de ce qu’il faut, confortable je vous dis. Bref un type exceptionnel, une belle pièce… Je le sens un peu fragile, j’aime bien les traces de fragilité, d’humanité, son sourire agit sur moi comme une arme redoutable, je suis sous le charme.

Je lui lèche un téton, sa poitrine est humide de sueur, je mordille


Il me caresse la bite dans mon pantalon, j’ouvre ma braguette pour lui donner accès à mon membre tout mouillé. Tout a l’air bien parti, pourtant très vite je sens qu’il bloque, l’excitation retombe à supposer qu’elle ne soit jamais montée… Il ne décolle pas vraiment, ne veux pas y aller. Je tente de rallumer en lui baisser son slip (aux couleurs de sa compagnie, hasard ?), il est superbe, des jambes un peu musclées, des poils blonds partout. Je lui lèche un téton, sa poitrine est humide de sueur, je mordille, il semble apprécier, je passe à l’autre téton… Mais toujours pas d’étincelle, le feu ne prend décidément pas. Il ne sait pas quoi faire de ses mains, il est un peu paralysé, un peu gauche, je ne le comprends pas. Il ne sait pas donner ? N’a pas envie de jouer ?

Dans une dernière tentative, je me mets à le sucer, je réalise que je n’avais même pas pris la peine de regarder soigneusement sa bite avant de me la mettre en bouche. Aie. Je me dis qu’elle a bon goût, mais c’est un peu craignos, d’autant plus que pour avoir un meilleur contact avec ma langue et ma bouche, il dégage bien son gland en baissant son prépuce.

Après quelques secondes, l’énergie n’est pas toujours là, l’alchimie ne prend pas, je prends conscience qu’il ne se passera rien, je renonce et préfère arrêter là. Je me redresse pour me rhabiller… Il est un peu surpris, mais il sait lui aussi que, nous deux, ça ne va pas marcher ! Il me sourit, je le quitte. Je réaliserai plus tard qu’il voulait peut-être engager une relation un peu différente… Il était peut-être trouble par mon empressement ? Depuis, chaque fois que je vois un bus, je regarde si ce n’est pas lui qui conduit. On ne se refait pas !


Eh bien oui, c’est la vraie vie, parfois ça marche, bien, ou moins bien, ou pas du tout, ou à la folie ! À la lecture de la plupart de mes postes, vous vous dites peut-être que je suis un gros vantard, ou bien qu’il semble hyper facile de trouver un mec à emporter ou à consommer sur place, si on cherche au bon endroit…

Faux ! Tout n’est pas rose pour le gay que je suis… Pour vous dire la vérité, je rentre très souvent bredouille. Parfois, il n’y a personne, personne « tout court », ou personne de consommable… Des laids, des vieux, des sales, des trop jeunes, des biens sous tous rapports, mais absolument pas bandants, etc. Quand il se fait (trop) tard, il faut se résigner, la mort dans l’âme, à rentrer à la maison, en rebroussant chemin.

Sur le moment, c’est toujours difficile à admettre, rentrer maintenant c’est accepter de rentrer bredouille. Immanquablement, je me dis que si je reste encore un peu, si je fais un autre petit tour par là, un dernier, je vais peut-être croiser un superbe mec… Qui sait ? C’est un peu, comme un alcoolique qui se dit « encore un p’tit verre, pour la route », ou le fumeur qui veut finir son paquet, avant d’arrêter. Moi aussi je suis un peu accro, évidemment.

Cependant, le fait qu’il faille parfois, voire souvent, rentrer avant de s’être vidé les couilles, rend finalement la chose encore plus excitante, parce que non prédictible et rare. C’est tellement vrai que ces deux effets (non prédictibilité et rareté) sont utilisés comme technique marketing. Afin d’éviter la saturation du marché pour certains produits, ces produits sont retirés de la vente, avant qu’elle ne s’épuise totalement (ce qui créée une éventuelle frustration chez les acheteurs), et être de nouveau mis sur le marché plus tard et du même coup, relancer (artificiellement) la demande. Par exemple, Disney fait ça très bien avec ses DVD de dessins animés, qui disparaissent des rayons et qui reviennent quelques années plus tard, l’aviez-vous remarqué ?

lundi 14 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 2/3






Après avoir fait plusieurs tours de piste, je le retrouve de nouveau, nous sommes chacun sur une des branches d’un chemin en forme d’Y, il arrive sur ma droite, inévitablement nous nous acheminons sur le même chemin, dans la même direction, il lui est impossible de faire demi-tour sans passer pour un rustre… Nous nous suivons à deux mètres l’un de l’autre. Je profite de l’occasion pour le mater en détail. Il porte un pantalon assez habillé, une chemise, pas de cravate, et des chaussures genre écrase-merde, mais élégantes (des chaussures que je pourrais tout à fait porter). Enfin, nous arrivons presque ensemble à la chicane – une sorte de barrière en bois, sensée ne laisser passer que les piétons. Il a une légère avance sur moi, il veut me laisser passer, je lui fais un signe de s’engager en premier. Il me gratifie d’un grand sourire – très beau sourire. Il s’exécute, puis ralenti un peu, je passe devant lui en espérant qu’il va me suivre. Sur ce coup, j’étais un peu trop sûr de moi, il va tout droit, sans me suivre. Mais qu'est-ce qu'il est nul ce type, ce n’est pas croyable.

je le regarde droit dans les yeux et je me passe la main sur le sexe


Je me dis, maintenant ça me gonfle vraiment, je vais lui mettre les points sur les I, je fais demi-tour pour le suivre. Je ne suis pas sûr qu’il m’est vu, je fais du bruit avec mes chaussures, il se décide enfin à se retourner… Il est à environ dix mètres de moi, je le regarde droit dans les yeux et je me passe la main sur le sexe. Il était tard, cette affaire avait trop traîné. Ouf ! Il me comprend et sans tarder, il s’enfonce dans le sous-bois, à l’abri des regards. Enfin ! Je commence à saliver et à savourer par anticipation le merveilleux plan cul qui s’annonce… Je le suis. Il se dirige vers un gros arbre, et se planque derrière.

À ce moment, je me dis flûte, je voulais aller vite, ok, mais en fait ce que je veux, c’est après les civilités d’usage, pouvoir prendre mon temps et notamment déballer moi-même la marchandise. J’aime bien déshabiller les mecs. Que dis-je ? J’adore désaper les mecs ! C'est une sorte de préliminaire... Je contourne l’arbre, et là sans surprise, il était déjà la bite à l’air en train de se l’asticoter. Je ne me démonte pas, je mets la main à la pâte. Un peu gauche, il hésite à me donner le contrôle de son petit bout de chair, pourtant déjà quasiment au garde-à-vous. « Petit bout de chair » en effet, car je m’étais fourvoyé, les apparences avaient été bien trompeuses, je me dis que sa démarche improbable n’était donc pas due à la taille de ses attributs virils. Ses couilles étaient comme vides, beaucoup de peau, toutes rabougries… Étonnant.

Il portait une chemise avec les couleurs et le logo des transports publics de la ville


Néanmoins, je vous rassure, il était vraiment craquant. Et vous savez quoi ? Il portait une chemise avec les couleurs et le logo des transports publics de la ville. Terrible. Combien de fois avais-je fantasmé sur les chauffeurs de bus, en imaginant me trouver seul avec l'un d'entre eux, dans un terminus de ligne désertique. Allongé à même le sol du bus, entre les rangées de sièges… J’avais là, dans les mains, en face de moi un chauffeur de bus, un vrai, une bite et des couilles de chauffeur de bus. Bonheur.

vendredi 11 septembre 2009

Un Chauffeur de Bus des Plus Sexy 1/3


Ce soir-là, je tournais depuis deux bonnes heures dans mon bois favori, et rien, absolument rien, nada… Je commençais à en avoir plein les jambes et je pensais bien devoir rentrer bredouille… Quand tout d’un coup, devant moi, là sur le chemin, un type de dos…

Déjà de dos, il présentait plutôt bien l’animal, des cheveux cours blonds, une nuque dégagée, de la chair, de la matière, un beau cul et des épaules de pompiers… Bref, devant moi, c’est une sorte d’armoire à glace, un géant, avec des pieds énormes et une démarche du genre « j’ai des grosses couilles, donc je ne peux marcher comme vous autres ! ». Bon. Je me dis, une démarche pareille, des grands pieds, il a sûrement de grandes mains (vous savez que j’affectionne tout particulièrement les grandes mains), et une grosse b… ça s’annonce plutôt bien…

Je découvre une barbe blonde intégrale, une petite frimousse absolument ra-vis-sante


Je le suis déjà depuis un bon moment, je m’impatiente… Va-t-il me remarquer, ou quoi ? Enfin, il se retourne pour me jeter un coup d’œil. Je découvre une barbe blonde intégrale, une petite frimousse absolument ra-vis-sante, il ressemble un peu à Clovis Cornillac, mais en plus mûr et plus balaise !

Sans attendre, il décide de bifurquer à droite, pour aller s’asseoir sur une souche d’arbre, puis allumer une cigarette… Problèmes ! Primo, à cet endroit rien n’est possible – il est trop près du chemin et secondo, avec sa clope, il veut baiser ou avoir une conversation mondaine ? Je me dis alors que ça se présente mal.

Je passe devant lui, et voulant y croire encore un peu, je prends un autre petit sentier, que je sais plus propice au touche-pipi. Va t-il me suivre ? Hourra, il me suit, mais il prend bien son temps. Ça m’énerve, je ne comprends pas ce qu’il veut, cette affaire manque d’enthousiasme ! Finalement, pour lui mettre un peu la pression, je décide d’accélérer le pas, tout en regardant discrètement derrière moi de temps en temps, pour voir s’il essaie de me rattraper ou pas. Eh bien non, il se laisse distancer le con. Je me dis que c’est bel et bien un plan foireux. Je me résigne à abandonner ce gibier pour reprendre la chasse et en trouver un qui a vraiment envie de tirer un coup.

J’ai droit à un petit regard en coin, mais sinon, il ne semble toujours pas très motivé


Plus tard, alors que je l’avais oublié, nous nous croisons par hasard au détour d’un chemin. J’ai droit à un petit regard en coin, mais sinon, il ne semble toujours pas très motivé. Merde ! Il était pourtant canon ce mec.

lundi 7 septembre 2009

Cosaque avec un Look de Routier




Tout ceci m’avait pas mal excité, et c’est d’un pas décidé que je repars à la chasse. Le gibier est très rare ce soir, peut-être vais-je devoir faire appel à mon amie la veuve poignée ? Et puis je tombe sur ce Cosaque avec un look de routier. Un type sec, musclé, avec des grandes moustaches en V inversé (façon Cosaque, d’où le nom de mon poste !). Il est habillé avec un tee-shirt sans manche, genre maillot de foot, d’un pantalon de sport et des sandales en plastique, genre sandales de piscine. Il sort probablement de la cabine de son camion. Il me regarde le regarder, nous nous comprenons immédiatement. C’est le vrai double effet Kisscool, sans ambiguïté, aucune ! Tout est clair donc.

Sa bite ressemble à un god de sex-shops. Sublime, je vous dis


Sans traîner, nous nous dirigeons vers un endroit tranquille, et immédiatement il me montre son engin. Putain de Dieu, une énorme bête, énormes couilles aussi, le tout bien proportionné et avec quelques jolis poils blonds à la base de la bite. Sublime, je vous dis. D’ailleurs elle ressemble à un god de sex-shops. Je la prends dans la main, à pleine main, puis de l’autre main je lui prends les couilles, c’est du bonheur. Ce type il a une très belle pièce, c’est clair, mais pas seulement, en fait nous sommes aussi sur la même longueur d’onde. Rien que d’y repenser en écrivant l’histoire me fait mouiller, comme un fou !

J’ouvre mon pantalon et descend le tout le plus bas possible, il vient se coller à moi, je sens sa grosse bite mouiller dans ma main. Il me met un doigt dans le cul, nous nous faisons face, il veut m’embrasser sur les lèvres, je lui donne un bon coup de langue. Ca moustache rêche a bon goût, et je dois la dégager avec ma langue pour accéder à ses lèvres et sa langue. Un peu comme si je devais tailler à la serpe dans de la jungle sauvage. De la main droite je me branle, de l’autre de presse doucement ses couilles. Je suis aux anges.

Il me dit « Oui, oui » dans l’oreille, ma respiration s’accélère, il sent que je vais jouir, il m’encourage. Je sens que ça vient, je vais jouir, il me doigte le trou du cul, il me mouille la main abondamment avec son liquide séminal. J’en ai plein sur la jambe, se gros dégueulasse m’en met partout et me chuchote à l’oreille, « vas-y », « crache », « oui », « oui » et je me laisse aller, j’ai les jambes bien écartées pour lui donner full accès à mon trou du cul, je m’abandonne au plaisir de l’orgasme qui vient, je sens sa grosse bite humide dans ma main détrempée.

L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées


Entre les micromoments d’absence, j’entends mon cœur accélérer. La vague de bonheur monte irrémédiablement, je la laisse venir s’écraser sur mon bas-ventre. Je me mets à respirer à pleins poumons et dans une série de syncopes… Je me lâche et me mets à jouir, à jouir copieusement. L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées. Il adore me voir me vider les couilles, tout en restant dans mon cul, il se jette sur ma bite pour bouffer mon foutre, je presse ma bite de bas en haut pour lui en donner le maximum. Il me dégage le gland pour me nettoyer à fond, il avale goulûment mon foutre chaud. Je reviens sur terre lentement, il me suce doucement, pour ne pas perdre une goutte. Je débande lentement dans sa bouche.

jeudi 3 septembre 2009

Un Hétéro Irréprochable ?


Ce soir en sortant du bureau je suis allé au bois. À peine rentré sur un chemin je tombe sur le petit vieux qui aime sucer. Il se dirigeait vers la sortie, c’était à prendre maintenant ou à laisser pour aujourd’hui. Optimiste, je décide de ne pas prendre et de continuer mon chemin pour trouver mieux… Ou pour ne rien trouver ! Optimiste et un peu joueur donc.

C'est probablement le genre de type qui prétend avoir une vie irréprochable, mais qui comme beaucoup vient se vider les couilles avec des mecs dans l’anonymat du bois…


Je marche, je marche, il fait très chaud, il va sûrement pleuvoir, le ciel est sombre. Après avoir fait plusieurs fois le tour des différents endroits de drague sans succès, je me dis que finalement, j’aurais peut-être dû me faire sucer par le petit vieux. Il est vieux, pas très sexy, mails il aime tellement ça, que ça me fait plaisir, et moi j’aime bien faire plaisir. Enfin, je tombe sur ce type, il a la petite cinquantaine, un look un peu intello, peut-être un médecin, ou pire un pédiatre ? Il a les cheveux gris-blanc avec une frange remontée sur la droite, c’est le genre à se faire des brushings. Pas du tout mon style, mais j’aime bien la façon dont il me regarde, il semble me dire du regard qu’il a très envie de baiser et que je pourrais faire l’affaire. J’ai l’impression qu’il bande dans son pantalon beige à pinces, il a une belle petite bosse.

Je mate bien sa braguette et je le dépasse. Je me retourne quelques secondes plus tard, il me suit. Je marche un moment pour trouver un endroit adéquat, il me suit toujours. Enfin, je bifurque sur la droite pour quitter le chemin et m’enfoncer dans les sous-bois. Petit risque : va-t-il me suivre ? Oui bien sûr et c’est même dans la seconde qu’il me suit. Je trouve un tronc d’arbre à plat, je m’allonge dessus en attendant qu’il s’approche. Et il s’approche ! Je lui mets la main au panier immédiatement. En fait, nous sommes très à découvert, et l’endroit n’est pas discret du tout, je trouve que c’est excitant, je pense qu’il est un peu coincé et que cela va le gêner un peu… C'est probablement le genre de type qui prétend avoir une vie irréprochable, mais qui comme beaucoup vient se vider les couilles avec des mecs dans l’anonymat du bois… Il a tellement envie de baiser qu’il est prêt à se lâcher un peu ce soir et donc à faire quelques folies !

Mon plan se déroule comme prévu, il est très excité, je lui touche la bite dans son pantalon, et lui me touche aussi. Il me dit d’y aller doucement, qu’il n’a pas baisé depuis longtemps et qu’il va probablement jouir très vite. Je caresse le bout de son gland au travers du tissu de son pantalon, il me freine. Il me dit que l’endroit n’est pas idéal côté discrétion, il veut aller plus loin à l’abri des regards dans les arbres… Je souris et j’ouvre sa braguette, il comprend que je ne veux pas bouger, j’ai presque du pouvoir ce soir ! Il m’aide à sortir son sexe, il bande bien et sa bite appelle ma main et mes caresses.

je le laisse là, seul avec sa grosse bite qui dégonfle lentement


J’ouvre ma ceinture puis ma braguette. Il ne tient plus en place, dès que mon sexe est visible, il le sort de mon caleçon, et se jette dessus pour le prendre dans sa bouche, il fait descendre le prépuce pour gouter mon gland. Il ne faut pas être devin pour comprendre qu’il apprécie grandement de m’avoir dans sa bouche. Il se redresse, et en se touchant à peine, se met à jouir à grands jets de foutre. Sa frange est tombée, il est tout tremblant. En reprenant son souffle, il me lâche « désolé ». Je me rhabille et je le laisse là, seul avec sa grosse bite qui dégonfle lentement.

N'ayant pas encore craché, je repars à la chasse.