lundi 24 août 2009

Mon Sperme dans son Mouchoir


En rentrant du travail, j’avais pris l’habitude de faire un détour pour faire une descente sur un petit parking qui bordait la route. Le midi le parking était utilisé par les clients d’une friterie, mais la nuit, la friterie fermée, le public devenait tout autre. C’était probablement en octobre ou novembre, à cette période de l’année ou la nuit tombe plus vite, ce qui permet aux types qui travaillent dans le coin de passer par là après leur travail, sans pour autant arriver trop tard chez bobonne !

ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien


J’arrive en voiture, je me gare, je coupe les phares et j’éteins le moteur… Je constate qu’il n’y a pas foule. Ce qui n’est pas toujours une mauvaise nouvelle, car parfois il suffit d’un seul type, et d’autre part quand il y a trop de monde, rien n’est possible du fait de la proximité trop grande. Je descends de la voiture pour faire le tour du parking pour voir à quoi je peux prétendre ce soir en matant dans les voitures garées. Il faut faire un peu gaffe, car il se peut qu’un con d’hétéro prenne mal le fait de se faire mater dans sa voiture, donc méfiance et vigilance. Ce n’est pas toujours évident, car certains mecs sont très clairs et vous montrent très vite ce qu’ils sont venus chercher, mais il est toujours possible de tomber sur un mec un peu coincé, qui a très envie de passer à l’acte, mais qui doit d’abord être mis en confiance. Parfois, même s'ils prétendent le contraire, leur jeu est très clair, d’abord ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien ;-)

Bref, ce soir-là je tombe sur un type, genre VRP, enfermé dans sa voiture et qui justement a un peu de mal à répondre à mes avances. Je pars, je reviens, je mate, il mate, je me touche la bite, je passe la main dans mon pantalon, il regarde. Je m’approche de sa voiture, je suis tout près de sa portière, j’ouvre lentement ma braguette, il mate. Je passe un doigt, puis deux, dans ma braguette entrouverte, je me caresse en lui montrant le blanc de mon caleçon. Il guette le moindre mouvement de ma main, il attend le moment où je vais lui en monter un peu plus, je sens qu’il aimerait bien toucher lui-même. Comme il n’ose rien faire encore, je devine que pour lui ce ne doit pas être très courant de draguer sur un parking. Il a l’air un peu coincé, mais je suis convaincu qu’il a envie de goûter. Je me dis qu’il pense peut-être à sa femme, ses gosses, ses collègues, ces pensées, ne font que m’exciter un peu plus.

Je fais le tour de la voiture pour me retrouver du côté de la portière du passager avant. Je tente d’ouvrir la porte… pas de chance elle est fermée ! Il agit immédiatement sur le bouton d’ouverture centralisée pour m’ouvrir, puis pour me faire de la place, il met à l’arrière les quelques affaires posées sur le siège passager.

il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça


Je rentre dans son univers, je note une odeur de cuir et de parfum masculin, Vétiver ou quelque chose dans le style. Je m’installe, il incline mon siège pour m’allonger un peu. Et là, je comprends que la glace est rompue, car il me met carrément la main sur le sexe, ma braguette est toujours ouverte et il glisse sa main dans mon pantalon. Il est gêné par ma ceinture, je l’aide en détachant la boucle et en ouvrant le bouton de mon pantalon. Il est tout existé, il me caresse les jambes au travers de mon pantalon, il arrive à mes chaussures, il passe un doigt dans ma chaussure et la main à l’intérieur du bas de mon pantalon. Puis il me retire une chaussure, doucement, il la pose sur le sol, il caresse mon pied dans sa chaussette, il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça. Il revient vers mon sexe, remonte ma chemise pour découvrir mon ventre, descend un peu mon pantalon et mon caleçon, il passe sa main entre mes cuisses, il est aux anges !

Je mouille comme une bête, mais je suis encore mou, il me prend la bite dans sa bouche et commence à me faire une fellation de derrière les fagots. Je lui guide la main vers mon trou du cul, il comprend instantanément ce que je lui demande. Je savoure pleinement ses caresses. De mon côté je lui touche la bite bien raide, que je sens encore gonfler dans ma main. Je ne suis plus très loin de l’orgasme, il sort un mouchoir en tissu, qu’il vient placer sur mon ventre. Je comprends qu’il a l’intention de récupérer mon foutre pour un usage futur. Je me mets à jouir en faisant bien attention de viser correctement sur le mouchoir, de ne rien perdre. Après, il nettoie précautionneusement ma bite avec son mouchoir, puis le repli soigneusement avant de le mettre dans sa poche. Je me rhabille, puis quitte la voiture en ayant le sentiment de mettre bien vidé les couilles.