lundi 21 septembre 2009

Son Short de Sport en Bas des Jambes


Quand je suis arrivé dans le parc, il était déjà là, assis sur la grosse pierre de mon ami Jarek, (le plombier polonais). Il était en train de lire… Ah, ah, ah, c’est le genre de type qui a besoin d’un alibi, lire sur un lieu de drague, mon œil ! En plus, il n’avait pas l’air très concentré sur sa lecture, je peux vous le dire, il passait son temps à mater autour de lui. Il avait une petite trentaine, il portait un petit short de sport bleu marine. Quand j’y repense ça me fait encore plus marrer, imaginer le type qui veut passer inaperçu et qui lit un bouquin en tenu de sport sur un lieu de drague… Ah ces mecs qui n’assume pas ! Bref, je passe devant lui, il me mate du coin de l’œil, mais l’un comme l’autre nous ne nous sentons pris d’une vague irrésistible de désir, c’est le moins que l’on puisse dire. Je passe mon chemin, et je l’oublie complètement.

ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre


Alors qu’il était déjà bien tard (mes petits collègues au bureau devaient probablement s’impatienter de ne pas me voir rentrer de mon déjeuner) nous nous croisons de nouveau, il se dirige vers la sortie et cette fois, faute de mieux, et ayant une envie farouche de me vider les couilles, je décide de le suivre. Il me remarque, et nous commençons à jouer le fameux ballet d’approche-séduction, suis-moi donc que je t’attrape… Le jeu était clair, il n’y avait plus de place au doute, nous voulions la même chose. Mais il nous fallait vite trouver un nouvel endroit, car mes toilettes préférées sont fermées le lundi. Dans l’urgence, je décide d’aller dans le jardin d’un musée non loin du lieu de drague. Il me suit. C’était un jardin à l’anglaise, plein de petits recoins idéals pour nos affaires, mais malheureusement surpeuplé de gens qui prenaient leur déjeuner sur la pelouse inondée de soleil. Je tourne et je vire, presque aux abois, tout en espérant que mon petit mec en short ne perde pas confiance… Je finis par trouver un buisson un peu excentré, dans l’ombre de grands arbres, avec une petite allée qui s’enfonçait derrière des buissons particulièrement denses.

Valeureux devant l’inconnu, je me lance sur cette allée, après mettre assurer que mon nouvel ami m’avait bien vu avant que je disparaisse dans les profondeurs de se buisson insondé. C’est bon, il m’a vu. Mieux, il me suit. L’endroit est parfait, il est même possible de se glisser le long du mur d’une petite bâtisse pour se cacher derrière une épaisse rangée d’arbres. Je m’assure qu’il ne me perde pas et hop nous prenons le maquis.

Il se met tout de suite dos au mur, sort sa bite et commence à se branler. Il me regarde. Ou plutôt il regarde ma braguette, il attend que je lui montre mon gros zob. Je m’accomplis. Je lui mets la main au paquet, il place ses mains sur ses hanches et se laisse faire – à la bonne heure. Sa bite à l’air bonne, il me vient l’envie de le sucer, je dégage son gland de la main gauche, c’est un très beau gland, de belle taille avec un prépuce souple et ample. Il a du bon matos. Je prends son gland dans ma bouche, il me fait comprendre qu’il est très réceptif à mon léché, en ouvrant les cuisses, et en relâchant les muscles de tout son corps. Sa bite gonfle dans ma bouche, il devient difficile de la bouffer convenablement, trop grosse !

Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi


Il est là, en train de prendre son pied, entièrement concentré sur son centre de gravité, les cuisses ouvertes, son short abandonné en bas des jambes, sa bite dans ma bouche. Son corps entier il me le donne, sa bite, ses couilles tout est à moi. Son joystick en bouche, je contrôle tout. Je lui tripote son petit trou du cul, ses fesses s’ouvrent toutes seules, elles m’attendaient, mon doigt s’enfonce sans gène dans son anus chaud, humide et naturellement lubrifié. Je me dégage pour le branler à la main, je pose ma tête sur son ventre au niveau de ses abdos, je respire son odeur intime, le parfum de son humus. Je sens qu’il ne va pas tarder à gicler, j’ai l’oreille collée sur son polo blanc immaculé, j’essaye de deviner les battements de son cœur. Il commence à ahaner, ses entrailles sont trop petites pour encaisser le volume d’air qui s’annonce, je synchronise ma branle avec son rythme cardiaque, il se cabre en arrière et prend son souffle, c’est imminent, je lui enfonce mon doigt encore plus en profondeur, il se met à cracher un jet de foutre d’une quinzaine de centimètres, un orgasme intense puis languissant lui parcours le bas ventre, d’un mouvement de la main je le vide d’une seconde giclé, il se relâche dans un soupir de plénitude. Je retire doucement mon doigt, et lui rends sa queue dégoulinante. Avant qu’il ne reprenne complètement conscience, je l’abandonne à ses vapeurs de foutre. Je repars avec les couilles toujours pleines, mais de bien belles sensations en tête et à corps.