lundi 5 octobre 2009

Son Pouce me Caresse la Prostate… (2/2)




Ça bite atteint de belles proportions, il décide de passer derrière moi. De là, il se baisse pour me lécher le cul. Il me prépare, comme une mariée, avec attention, technique et savoir-faire. Je continue à me branler, il me caresse les couilles pendant qu’il m’introduit le bout de sa langue de gaulois dans l’anus.

Contact, retrait, frustration


Au bout de quelques minutes de ce bain de salive, il se relève et se rapproche. Il met sa bite dans l’axe de mon orifice, de mon corps. D’abord son gland, contact seulement. Contact, retrait, frustration. J’ai l’impression que mon cul s’ouvre tout seul, mon cul appel sa grosse bite, mon corps entier attend, ne peut plus attendre. Je suis prêt à tout. Je me penche en avant, prends appuis sur l’arbre d’en face, le bras tendu. Il reste froid, il maîtrise le truc, il m’approche jusqu’au contact de sa bite, il est là, il abouche, je sens la peau de son gland retroussé, le contact est parfait, il y a juste assez de fluide, nous sommes faits l’un pour l’autre. Il part encore. Il glisse sa main gauche sur mon ventre, il prend appuis – c’est un signe, je le prends comme un signe – désespéré que je suis de l’attendre, de l’attendre en moi.

Oui, c’était bien cela, un signe, il me fourre son engin dans les fesses. Jusqu’au fond, je sens le métal de son cock ring sur ma peau. Ses poils, aussi, enfin je crois, je ne sais plus trop, ce qui est à lui, ce qui est à moi, nous ne faisons qu’un.

Putain, qu’elle est bonne sa bite, qu’il est bon de le sentir en mon ventre. D’une de ses mains il caresse un de mes tétons, sous mon polo, passe sa main chaude sur mon sein, de l’autre main il « keep control ». Je prends mon pied, il respire par saccades dans ma nuque, je comprends que lui aussi. Je suis au bord de me lâcher, de tout lâcher. Tel un médium il le sent, il le vit, il se retire, sans avoir eu le temps de manquer de lui, il me plonge son pouce à fond dans le cul. Il se laisse tomber à genoux sur le sol, je ne peux le voir, mais je devine qu’il se touche la queue. De son pouce il peut atteindre ma prostate, il la palpe de la pulpe de son pouce, avec ses autres doigts il m’enserre les couilles, il enveloppe mes couilles dans sa main. Il exerce une légère pression sur mes burnes. Il forme une pince entre son pouce et ses autres doigts, en rapprochant ses doigts, il comprime le tout, cette caresse est exquise, totale, je ne vais pas tarder à décharger.

cette morsure lubrique déclenche dans mon bas ventre un spasme voluptueux, par reflex je comprime l’anus


Je l’entends râler dans mon dos, il me mord le côté de la cuisse, cette morsure lubrique déclenche dans mon bas ventre un spasme voluptueux, par reflex je comprime l’anus, il sent mon orgasme dans son pouce et il se met immédiatement à jouir, il grognonne derrière moi, il s’écroule sur ma cuisse, se laisse tomber, s’oublie le temps de laisser vivre et mourir son orgasme.