jeudi 13 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 1/2



C’était un parc, le long d’une voie express, il y avait une entrée à chaque extrémité, ce qui rendait l’endroit très sécurisant. Je le traversai souvent en rentrant du travail, ou bien le soir après que la nuit soit tombée. Une nuit, je tombe sur ce type, que j’avais déjà rencontré (et consommé sur place !), une petite cinquantaine, massif et un poil bourru, il avait un peu d’Harvey Keitel.

Nous nous tournons autour un instant, je ne suis pas sûr qu’il m’ait reconnu. Je l’attends derrière un buisson, il arrive, lentement. Il vient vers moi, je le regarde, je dirige mon regard vers sa braguette de pantalon… À juste titre, il interprète mon regard comme une invitation !

Il me pose la main sur le sexe au travers de mon pantalon, je fais de même. Il a l’air très excité, il cherche à ouvrir la boucle de ma ceinture, je l’aide. Il déboutonne mon pantalon, ouvre la fermeture éclair de ma braguette, ne prenant pas le temps d’ouvrir davantage, il plonge la main dans mon slip. Quel plaisir de sentir sa grosse main chaude collée à mon sexe par la pression du slip. Il retourne la main, prend un peu d’aise dans ce slip décidément trop juste pour contenir cette grosse main pleine de doigts.

Pendant qu’il me malaxe tout ce qui lui tombe à porté de main dans mon slip, je ne me laisse pas prier pour ouvrir moi-même son pantalon. Il porte un pantalon un peu ringard, genre fringue d’occasion, une chemise avec un col allongé, mais dans son cas il ne s’agit pas de vêtements d’occasion, c’est probablement ce qu’il porte tous les jours ! Bref, j’ouvre son pantalon « vintage », pour mettre à jour son slip d’homme ordinaire (hum…), je mets la main dans le slip, puis d’un mouvement de la main je mets à l’air libre l’ensemble des bijoux de famille. On respire. Il commence à bander, mais l’objet est tout à fait gérable. Il se balade dans mon slip, le déforme à tout va. Je lui triture la bite, les couilles, les couilles, la bite. Nous apprécions l’un et l’autre nos caresses respectives.

Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive.


J’ouvre un peu plus son pantalon, avec les deux mains j’attrape les bords de son slip sur ces deux hanches. Je baisse le tout… Le plus bas possible. Son pantalon patte d’éléphant se révèle extrêmement conciliant. Bonheur. Il a la queue entre les jambes. Je délaisse un peu cette bite qui ne demande qu’à être papouillée. Je me concentre sur son torse, son ventre, je caresse son corps en passant les mains partout, il ne me semble pas avoir oublié le moindre centimètre carré de peau. Il a la peau douce, quelques poils durs de-ci de-là. Je mouille comme un malade. Je maintiens sa chemise ouverte et levée, je m’attarde sur ses gros tetons, je les maltraite entre mes doigts, je les mordille. Sans perdre le contact de sa peau avec ma bouche et ma langue, je descends du sein droit vers son nombril, par le milieu de son thorax, je sens ses poils durs sur ma langue. Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive. J’y découvre un petit goût de sueur, qui m’excite beaucoup et me donne envie de le lécher davantage pour extraire ce suc savoureux. La salive dégouline sur son ventre, vient se perdre dans ses poils pubiens… Je prends mon temps. Je quitte enfin le nombril, toujours sans perdre le contact, je descends vers sa grosse bite. Il bande comme un fou, je la sens se cogner sur mon cou et ma gorge. Il me tient la tète par derrière, quand il veut que je m’attarde, il m’appui sur la tète, doucement, mais fermement. Je ne fais pas absolument ce que je veux et j’adore ça.

Enfin, je touche sa bite avec mon menton, elle est dure comme du béton. J’ai plein de salive, de bave dans la bouche je lèche ses poils, de nouveau ce parfum de transpiration m’envahit la bouche. Je me dis qu’il a dû avoir chaud dans la journée… Je le lèche entre les couilles et l’intérieure des cuisses… Je lui attrape les couilles, et lui maintient la base de la queue pour pouvoir prendre son gland en bouche. Je le suce doucement, son prépuce recouvre toujours son gland. Délicatement, toujours en le caressant dans ma bouche, je tire sur la peau de sa bite, pour ouvrir le prépuce et sentir en direct la douceur de son gland dans ma bouche et son liquide se rependre dans ma bouche. À ce moment il lâche un tout petit cri de jouissance, une sorte de soupir appuyé. J’en déduis que je fais du bon boulot.

il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».


Nous sommes au milieu d’un buisson dans ce parc désert. Nous avons nos pantalons baissés et nous nous tripotons avec bonheur. Je lui astique le dard, il semble apprécier au plus haut point, au bout de quelques minutes, il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? J’habite à deux pas d’ici ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».