samedi 3 octobre 2009

Son Pouce me Caresse la Prostate… (1/2)



Ce n’était pas la première fois que nous nous touchions la bite. En fait, ce type me branche à donf ! Il me fait penser à un légionnaire à la retraite, la cinquantaine, grand, massif, cheveux rasés, des tatouages « faits maison » sur tout le corps (je dis bien tout le corps). En général, il porte un blouson en tissu de camouflage et des pantalons de militaires, genre tenue d’entraînement. Bref, c’est le type viril, de plus il a une grosse bite, dont il veut se servir. Maintenant.

dans le bois, il me baisait au milieu des arbres dénudés


Nous nous étions déjà croisés en plein hivers, il n’y avait que nous dans le bois, il me baisait au milieu des arbres dénudés. Un passant, un promeneur de chien, qui se trouverait là ne pouvait pas nous rater. Diable que c’était excitant, je mouille rien qu’en y pensant. Mais ce n’est pas le sujet de ce poste, j’y reviendrai un autre jour…

Cette fois, c’était l’été et il était torse nu, il était plus en moins en « affaire » avec un autre type. Je m’approche, pour voir. Je comprends vite qu’ils ne vont pas faire grand-chose, le type lui tourne autour, mais il n’a pas l’air de savoir pourquoi il est là, indécis. Mon légionnaire l’oublie, et se met à se toucher la bite en me regardant. Je ne me fais pas prier pour le suivre dans son antre, une cache derrière les arbres. Nous sommes très excités l’un et l’autre, nous ne nous sommes pas vus depuis un moment, mais nous nous connaissons bien, intimement.

J’ouvre ma braguette, il plonge sa grosse main dans mon caleçon, il fouille de ses doigts, se fait de la place, se fraye un chemin vers mon petit trou du cul, un peu comme un chaton cherche un téton perdu dans la fourrure, à l’aveugle, au touché. J’ouvre, ma ceinture, puis mon bouton de pantalon, je vais vite. Il retire sa main, un instant (il le faut), pour que je puisse baisser mon pantalon et mon caleçon, tout en bas, sur mes pompes. Je suis là, les cuisses écartées, les couilles déployées dans l’air frais, la bite ballante, le cul offert j’attends son doigt.

il me fait attendre, quelques microsecondes, un siècle...


Il revient, il y va, il me doigte doucement, comme un gros pervers il me fait languir, il met le bout de son doigt, puis le retire. Il tourne autour du pot, au palpé il inspecte mon orifice, il me fait attendre, quelques microsecondes, un siècle, puis recommence a m’enfiler son index. Progressivement, il m’insère le bout du bout du doigt, le bout de son doigt, puis la première phalange. Il me le soigne mon petit trou du cul, il sait qu’il va y mettre sa grosse bite, là, dans ce petit trou qu’il faut soigneusement préparer, réveiller, alanguir. Rendre esclave.

Ah putain ! Sa grosse bite. Parlons-en. Il porte un cock ring, elle est belle sa bite, un peu courbe vers le haut, fière, un poil dominatrice, très peu de poils, un tatouage à la base, un motif de flamme qui fait tout le tour de sa verge, un tatouage à l’encre bleue. Je me jette sur cette belle bite, commence à la sucer. Il a un peu transpiré, il sent le mec, surtout dans sa petite touffe de poils bruns. Il sent lui. Je respire à plein nez son odeur animale, à chaque descente du mouvement de va-et-vient, je plonge mon nez dans le rêche de sa pilosité. Au bout d’une demi-seconde, alors qu’il s’excite, autonome, en me tripotant le trou du cul, et que j’asticote son mandrin, il commence à libérer dans ma bouche sa petite liqueur, de cette saveur qui annonce le plaisir. Je goûte son jus intime, je me touche, je mouille aussi.

À Suivre...