lundi 7 septembre 2009

Cosaque avec un Look de Routier




Tout ceci m’avait pas mal excité, et c’est d’un pas décidé que je repars à la chasse. Le gibier est très rare ce soir, peut-être vais-je devoir faire appel à mon amie la veuve poignée ? Et puis je tombe sur ce Cosaque avec un look de routier. Un type sec, musclé, avec des grandes moustaches en V inversé (façon Cosaque, d’où le nom de mon poste !). Il est habillé avec un tee-shirt sans manche, genre maillot de foot, d’un pantalon de sport et des sandales en plastique, genre sandales de piscine. Il sort probablement de la cabine de son camion. Il me regarde le regarder, nous nous comprenons immédiatement. C’est le vrai double effet Kisscool, sans ambiguïté, aucune ! Tout est clair donc.

Sa bite ressemble à un god de sex-shops. Sublime, je vous dis


Sans traîner, nous nous dirigeons vers un endroit tranquille, et immédiatement il me montre son engin. Putain de Dieu, une énorme bête, énormes couilles aussi, le tout bien proportionné et avec quelques jolis poils blonds à la base de la bite. Sublime, je vous dis. D’ailleurs elle ressemble à un god de sex-shops. Je la prends dans la main, à pleine main, puis de l’autre main je lui prends les couilles, c’est du bonheur. Ce type il a une très belle pièce, c’est clair, mais pas seulement, en fait nous sommes aussi sur la même longueur d’onde. Rien que d’y repenser en écrivant l’histoire me fait mouiller, comme un fou !

J’ouvre mon pantalon et descend le tout le plus bas possible, il vient se coller à moi, je sens sa grosse bite mouiller dans ma main. Il me met un doigt dans le cul, nous nous faisons face, il veut m’embrasser sur les lèvres, je lui donne un bon coup de langue. Ca moustache rêche a bon goût, et je dois la dégager avec ma langue pour accéder à ses lèvres et sa langue. Un peu comme si je devais tailler à la serpe dans de la jungle sauvage. De la main droite je me branle, de l’autre de presse doucement ses couilles. Je suis aux anges.

Il me dit « Oui, oui » dans l’oreille, ma respiration s’accélère, il sent que je vais jouir, il m’encourage. Je sens que ça vient, je vais jouir, il me doigte le trou du cul, il me mouille la main abondamment avec son liquide séminal. J’en ai plein sur la jambe, se gros dégueulasse m’en met partout et me chuchote à l’oreille, « vas-y », « crache », « oui », « oui » et je me laisse aller, j’ai les jambes bien écartées pour lui donner full accès à mon trou du cul, je m’abandonne au plaisir de l’orgasme qui vient, je sens sa grosse bite humide dans ma main détrempée.

L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées


Entre les micromoments d’absence, j’entends mon cœur accélérer. La vague de bonheur monte irrémédiablement, je la laisse venir s’écraser sur mon bas-ventre. Je me mets à respirer à pleins poumons et dans une série de syncopes… Je me lâche et me mets à jouir, à jouir copieusement. L’orgasme est violent, il me prend tout entier. J’ai les jambes coupées. Il adore me voir me vider les couilles, tout en restant dans mon cul, il se jette sur ma bite pour bouffer mon foutre, je presse ma bite de bas en haut pour lui en donner le maximum. Il me dégage le gland pour me nettoyer à fond, il avale goulûment mon foutre chaud. Je reviens sur terre lentement, il me suce doucement, pour ne pas perdre une goutte. Je débande lentement dans sa bouche.