dimanche 30 août 2009

La Révolution Sexuelle et la Camaraderie Amoureuse


Michel Onfray, dans sa chronique « Diogène & Co » publiée dans Siné Hebdo1, nous parle d’Émile Armand qui « théorise l’individualisme anarchiste et la libération sexuelle2. [E. Armand] se place sous le signe de Nietzsche pour critiquer la morale sexuelle dominante : monogamie, mariage, fidélité, cohabitation, procréation et autres machines destinées à calmer les ardeurs sexuelles dionysiaques en les faisant entrer de force dans des prisons pour lesquelles elles ne sont pas faites. »

Prisons pour lesquelles elles ne sont pas faites, comme je comprends cet homme !

« Pourquoi sommes-nous passionnément amoureux d’une personne qui, d’un seul coup d’un seul, devient notre unique objet de haine des qu’elle nous signale qu’elle a passé l’après-midi dans les bras d’un autre ou les deux auront eu du plaisir sans qu’il aille d’autre chose que de l’échange d’un jour ? Pour quelles raisons la haine, devenue violence verbale, mentale, morale, physique, surgit-elle alors que nous devrions aimer le plaisir de celui ou celle qu’on aime ? À cause de la jalousie, qui est sentiment de propriétaire dont il faut se défaire parce que, comme dirait l’autre c’est du vol ! »

Sans vouloir me mesurer à ces deux auteurs, cette question de la jalousie, je me la suis déjà posée. En effet, je ne me l’explique pas, est-ce que les jaloux nous parlent d’amours ? Je présentais que non, j’apprends aujourd’hui qu’il ne s’agit que d’un sentiment de propriété, et qu’en plus c’est du vol !

« La famille ? Il faut l’abolir, car cet « État en petit » coagule l’exclusivisme et interdit la création de relations de sociabilité hédonistes. À la place, il faut une relation contractuelle ou seul le plaisir fait la loi. Ce contrat hédoniste peut se mettre en réseau dans un genre de coopératives sexuelles, qui luttent concrètement contre une sexualité soumise aux logiques du marché libéral : contre la propriété privée de la libido. »

Abolir la famille ? C’est en cours cher Émile ! Il suffit de regarder autour de soi toutes ces « familles » recomposées… Et il me semble de ma fenêtre que les gens la vivent de mieux en mieux cette famille multiforme. En espérant qu’on laisse les mômes prendre ce qu’ils veulent, ou ils veulent, s’ils veulent, sans leur coller une image de supposées victimes sans un pôpa et une môman.

« L’Émile propose une libération de toutes les fantaisies, dont le fétichisme et le sado-masochisme, l’homosexualité et le transformisme (en 1930 !). Il célèbre les associations les plus fantasques pourvu qu’elles s’effectuent dans le consentement. »

Le consentement est la règle, évidemment. Merci Émile et merci Michel de nous avoir présenté votre ami.


1. Siné Hebdo no 49 - 12 aout 2009, chez tous les bons marchands de journaux !
2. Armand Emile, La révolution sexuelle et la camaraderie amoureuse, réédité aux éditions La Découverte.

jeudi 27 août 2009

Ménage à Trois en Plein Air


Hier soir en rentrant d’un déplacement, je me suis trouvé – par le plus grand des hasards - du côté de mon parc favori. Il était 23 h 30 environ, je n’y suis jamais allé à une heure aussi tardive, j’ai eu envie d’aller faire un tour, pour voir…

Quelle surprise, le parc était plein de types qui cherchaient la même chose que moi, c’est à dire de la chair fraîche et consentante ! C’était presque trop, on aurait dit un métro aux heures d’affluence. Ils étaient partout, certains attendaient en matant de droite à gauche, parfois en reluquant sans aucune retenue. D’autres marchaient en faisant semblant de juste passer… Oui, oui, bien sûr, ils sont dans un parc à presque minuit et ils veulent nous faire croire qu’ils rentrent du bureau, ou qu’ils sont venus prendre l’air. Je me marre.

Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme


Hors, je n’aime pas l’affluence, quand c’est trop il devient impossible de faire quoi que ce soit sans avoir à partager. Je n’aime pas partager. Je m’éloigne donc un peu du rush, pour voir s’il y avait un peu moins d’action dans les allées alentour. Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme. Je ne sais pas d’où il sortait, mais il avait un sac à dos, ok, rien d’anormal, mais il avait aussi un sac qui devait contenir un ordinateur. Il faisait très très chaud cette nuit-là, et il portait un blouson ! Un blouson léger certes, mais de trop vu la température. Il devait sortir de son bureau pour le coup celui-là !

Il me remarque, je me dirige vers un endroit un peu près désert… Il me suit. Arrivé dans un coin tranquille, il ne traîne pas. Il pose ses sacs, ouvre son pantalon et le descend sur ses pieds. Rapide, le mec. Je m’avance en me touchant la bite, il m’attend en se caressant, il bande déjà bien. Je lui prends la bite, il cherche à ouvrir mon pantalon. Vu que quelqu’un est susceptible d’arriver d’un moment à l’autre, je descends mon pantalon et caleçon à mis fesses seulement. On ne sait jamais, il fait très noir, et je ne connais pas bien l’endroit à cette heure. Nous nous caressons gentiment, il se baisse pour me sucer, il fait ça très bien.

Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention


Je vois un jeune type arriver, il est à quelques mètres, il porte un short long et une chemise rouge à manches courtes. Il se touche la bite, démarche de contact, oh combien classique ;-). Faute d’obtenir une invitation nette et franche de ma part (mon suceur est trop concentré à ce qu’il fait pour le voir et donc donner son avis), il déduit qu’il peut nous rejoindre. Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention. Je ne la fais pas attendre, de la main gauche je la tripatouille et je la sens – quasi immédiatement – grandir mes doigts. Il glisse sa main dans mon dos, sous mon polo et puis redescend vers mes fesses. Il descend encore un peu plus pour m’exciter les fesses et, devinez quoi, me mettre son petit doigt dans le trou du cul…

Je suis alors très proche du nirvana, l’un à mon trou de balle, l’autre tout à mon obus (merci Gainsbourg pour l’inspiration). Je commence à me tortiller de plaisir, le plaisir qui monte, ils comprennent que ça ne va pas tarder, ils s’appliquent pour me faire jouir. Je dégage doucement le suceur sur ma gauche, je lui plaque la tète tout près de mon sexe, il a le nez dans ma touffe, je me branle pour me finir, très vite je crashe une longue giclée de foutre bleuté dans la nuit noire.

d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue


Le suceur se jette sur la bite chaude du type en chemise rouge, pour ma part, je me mets à branler le petit Arabe qui aime sucer. Il me freine, je comprends qu’il est tout prêt de jouir. Je le branle doucement pour maintenir la pression sans le faire jouir, nous attendons la chemise rouge. Nous n’avons pas attendu longtemps, il nous lâche un petit soupir, censé nous préparer au bouquet final. Je reprends en main le suceur, lui-même c’est redressé pour mieux voir la queue de son acolyte, d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue. Ils sont tout près du but, la chemise rouge part en premier, il est suivi de peu par le petit Arabe.

lundi 24 août 2009

Mon Sperme dans son Mouchoir


En rentrant du travail, j’avais pris l’habitude de faire un détour pour faire une descente sur un petit parking qui bordait la route. Le midi le parking était utilisé par les clients d’une friterie, mais la nuit, la friterie fermée, le public devenait tout autre. C’était probablement en octobre ou novembre, à cette période de l’année ou la nuit tombe plus vite, ce qui permet aux types qui travaillent dans le coin de passer par là après leur travail, sans pour autant arriver trop tard chez bobonne !

ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien


J’arrive en voiture, je me gare, je coupe les phares et j’éteins le moteur… Je constate qu’il n’y a pas foule. Ce qui n’est pas toujours une mauvaise nouvelle, car parfois il suffit d’un seul type, et d’autre part quand il y a trop de monde, rien n’est possible du fait de la proximité trop grande. Je descends de la voiture pour faire le tour du parking pour voir à quoi je peux prétendre ce soir en matant dans les voitures garées. Il faut faire un peu gaffe, car il se peut qu’un con d’hétéro prenne mal le fait de se faire mater dans sa voiture, donc méfiance et vigilance. Ce n’est pas toujours évident, car certains mecs sont très clairs et vous montrent très vite ce qu’ils sont venus chercher, mais il est toujours possible de tomber sur un mec un peu coincé, qui a très envie de passer à l’acte, mais qui doit d’abord être mis en confiance. Parfois, même s'ils prétendent le contraire, leur jeu est très clair, d’abord ils ne sont pas dans un parc ou un parking la nuit pour promener le chien ! Surtout s’ils n’ont pas de chien ;-)

Bref, ce soir-là je tombe sur un type, genre VRP, enfermé dans sa voiture et qui justement a un peu de mal à répondre à mes avances. Je pars, je reviens, je mate, il mate, je me touche la bite, je passe la main dans mon pantalon, il regarde. Je m’approche de sa voiture, je suis tout près de sa portière, j’ouvre lentement ma braguette, il mate. Je passe un doigt, puis deux, dans ma braguette entrouverte, je me caresse en lui montrant le blanc de mon caleçon. Il guette le moindre mouvement de ma main, il attend le moment où je vais lui en monter un peu plus, je sens qu’il aimerait bien toucher lui-même. Comme il n’ose rien faire encore, je devine que pour lui ce ne doit pas être très courant de draguer sur un parking. Il a l’air un peu coincé, mais je suis convaincu qu’il a envie de goûter. Je me dis qu’il pense peut-être à sa femme, ses gosses, ses collègues, ces pensées, ne font que m’exciter un peu plus.

Je fais le tour de la voiture pour me retrouver du côté de la portière du passager avant. Je tente d’ouvrir la porte… pas de chance elle est fermée ! Il agit immédiatement sur le bouton d’ouverture centralisée pour m’ouvrir, puis pour me faire de la place, il met à l’arrière les quelques affaires posées sur le siège passager.

il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça


Je rentre dans son univers, je note une odeur de cuir et de parfum masculin, Vétiver ou quelque chose dans le style. Je m’installe, il incline mon siège pour m’allonger un peu. Et là, je comprends que la glace est rompue, car il me met carrément la main sur le sexe, ma braguette est toujours ouverte et il glisse sa main dans mon pantalon. Il est gêné par ma ceinture, je l’aide en détachant la boucle et en ouvrant le bouton de mon pantalon. Il est tout existé, il me caresse les jambes au travers de mon pantalon, il arrive à mes chaussures, il passe un doigt dans ma chaussure et la main à l’intérieur du bas de mon pantalon. Puis il me retire une chaussure, doucement, il la pose sur le sol, il caresse mon pied dans sa chaussette, il approche sa bouche pour prendre mon gros orteil dans sa bouche. Il lèche ma chaussette et semble adorer ça. Il revient vers mon sexe, remonte ma chemise pour découvrir mon ventre, descend un peu mon pantalon et mon caleçon, il passe sa main entre mes cuisses, il est aux anges !

Je mouille comme une bête, mais je suis encore mou, il me prend la bite dans sa bouche et commence à me faire une fellation de derrière les fagots. Je lui guide la main vers mon trou du cul, il comprend instantanément ce que je lui demande. Je savoure pleinement ses caresses. De mon côté je lui touche la bite bien raide, que je sens encore gonfler dans ma main. Je ne suis plus très loin de l’orgasme, il sort un mouchoir en tissu, qu’il vient placer sur mon ventre. Je comprends qu’il a l’intention de récupérer mon foutre pour un usage futur. Je me mets à jouir en faisant bien attention de viser correctement sur le mouchoir, de ne rien perdre. Après, il nettoie précautionneusement ma bite avec son mouchoir, puis le repli soigneusement avant de le mettre dans sa poche. Je me rhabille, puis quitte la voiture en ayant le sentiment de mettre bien vidé les couilles.

vendredi 21 août 2009

Un Mec Offert, qui se Laisse Caresser… 2/2




Je ne me fais pas prier. J’avance vers lui, je suis sur son côté droit, à hauteur de son sexe. Doucement, prêt à reculer en cas de mauvaise réaction, je pose la main sur son paquet. Toujours les yeux fermés, il ne bouge pas. J’en déduis qu’il approuve. Je tente de cerner sa bite au travers de son pantalon, il bande un peu… Le fait de caresser un type qui dort (ou fais semblant de dormir) m’excite au plus haut point.

Il a peu de poils, la peau très blanche, presque laiteuse. Son sexe commence à prendre beaucoup de place dans son petit slip blanc


Je décide d’aller un peu plus loin, il n’a pas de ceinture, j’ouvre le bouton du pantalon, puis la fermeture éclair de sa braguette. J’entrouvre largement sa braguette, pour voir apparaître son slip blanc de tissu fin, magnifiquement et copieusement rempli. Je tripote sa bite au travers du tissu de son slip. Puis je passe ma main gauche sous son tee-shirt pour lui caresser la poitrine. Il ne bronche pas, c’est le pied absolu. Avec la main gauche, je remonte son tee-shirt, pour découvrir son ventre et ses pectoraux légèrement musclés. Il a peu de poils, la peau très blanche, presque laiteuse. Son sexe commence à prendre beaucoup de place dans son petit slip blanc, je soulève l’élastique du haut de son slip pour laisser sa bite prendre un peu d’aise. Hop ! La petite bête montre sa tète.

C’était un peu comme si je jouais du piano debout, d’une main je lui touchais la bite et de l’autre je savourais son grain de peau sous son tee-shirt. Il laisse tomber sa main droite de sa poche, pour me caresser l’intérieur des cuisses. Je mouillais comme un fou dans mon petit caleçon… J’ouvre mon pantalon, puis baisse mon caleçon jusqu’en bas. Il pose sa main entre mes jambes, sans bouger. Sa bite avait l’air trop bonne, je décide de lui sucer le bout du gland. Il apprécie grandement, me le montre en écartant un peu plus les cuisses. Je baisse son slip, il lève les fesses pour me faciliter le travail. J’ai accès libre à tout ce que je veux. Je lui passe la main entre les jambes, il accompagne mon geste en écartant encore un peu plus les jambes. J’ai la bite collée sur sa hanche, je bande comme un fou… lui aussi ! Dieu que sa bite est belle.

Dans un râle, il se lâche le premier, il crache un long jet de foutre, je fais de même dans le dixième de seconde qui suit


De la main gauche je le branle, en appuyant sur sa bite vers le bas, je me recul pour me branler de la main droite. Je lui fais dos, il a accès à mon petit trou du cul, il ne lui faut pas longtemps pour y glisser le bout d’un doigt. Je me rends compte qu’il va jouir rapidement, car il commence à faire le fou avec son doigt. De mon côté cela ne va pas traîner non plus. Dans un râle, il se lâche le premier, il crache un long jet de foutre, je fais de même dans le dixième de seconde qui suit. Je le termine en ralentissant la branle doucement, il a des spasmes dans le corps accompagnés de montées de sperme. Je lui repose sa bite sur le ventre. Il respire, moi aussi. Enfin, il sort des mouchoirs en papier de sa poche, il m’en propose un, je l’accepte. Nous nous essuyons et remballons le matos. Ça a été très bon !

mardi 18 août 2009

Un Mec Offert, qui se Laisse Caresser… 1/2


Ce matin je lis mon horoscope : « Aujourd'hui, célibataires, vous allez connaître l'amour raffiné dont vous rêviez sans cesse. Vous rencontrerez un partenaire intelligent ou une personnalité d'élite. Vous vous découvrirez de vraies affinités électives, une pensée politique, philosophique ou religieuse commune, ou encore des aspirations ou des préoccupations sociales semblables. »

moi ce que j’aime, c’est les mecs un peu enrobés, avec notamment de gros doigts et de grosses mains, j’adore sentir une grosse main dans mon slip


C’est pas mal, hein ? Je me dis, c’est le jour pour aller traîner dans mon parc préféré, car la chasse promet d’être heureuse. Manque de chance, je n’ai pas eu le temps d’y aller après mon déjeuner, donc je suis allé me balader au bois à la sortie du bureau…

J’étais à peine arrivé, que je tombe sur un petit asiatique, il marchait dans ma direction et sous le prétexte de se nettoyer l’œil, remonte son tee-shirt, pour me montrer son torse et surtout le début de ses poils pubiens. Touffe de poils que laissait apparaître son pantalon taille basse, un petit pantalon blanc de lin je suppose… Le problème, c’est que ce n’est pas du tout mon style de mec. Trop mince et trop fin. Aucune envie de faire quoi que ce soit avec un type pareil, d’ailleurs même si je le voulais, je ne pourrais pas. Non, moi ce que j’aime, c’est les mecs un peu enrobés, avec notamment de gros doigts et de grosses mains, j’adore sentir une grosse main dans mon slip ! Enfin, il n’a pas besoin d’avoir de grosses mains, mais elles ne doivent pas être fines. Ca non ! Je passe mon chemin, il n’insiste pas.

Je marche, je marche, et rien. Rien du tout. Un petit vieux, décidément trop vieux, une espèce de type imbaisable, un cadre dynamique en cravate, genre banquier, ils ne me font pas bander les banquiers ! Un gamin, trop jeune pour moi. Bref, l’enfer, rien à se mettre sous la queue, merde !

Sur le dos, ses bras sont le long de son corps, il est offert, là, son beau paquet à disposition… Peut-être dort-il vraiment ?


Je marche, je marche, je m’enfonce dans les sous-bois… Et j’aperçois au loin, un type allongé sur un tronc d’arbre posé à plat à un mètre du sol. Je m’approche, il a les yeux fermés. Je l’observe discrètement, il est en tenu de travail, pantalon de coton bleu et tee-shirt bleu aussi, avec le nom de son entreprise brodé sur la poitrine. Il est plutôt du genre trapu et viril, les cheveux courts, châtains foncés, bouclés. Il a un petit tatouage sur le bras droit. Ses bras sont le long de son corps, avec les mains dans les poches arrière du pantalon. Il est offert, là, son beau paquet à disposition… Peut-être dort-il vraiment ?

J’avance doucement. Il me remarque, il entrouvre les yeux, me regarde, me sourit. Ses jambes sont croisées au niveau de ses chevilles, il sort une main d’une de ses poches, pour se toucher le paquet, et écarte un peu les jambes en les remontant. Il remet sa main dans sa poche arrière, il redescend les jambes en lâchant un petit soupir de bien-être, il est parfaitement détendu et n’attend qu’une seule chose.

samedi 15 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 2/2




Nous nous rhabillons, nos bites respectives ne comprennent pas encore pourquoi nous remballons avant de conclure. Ce n’est que pour mieux sauter, c’est le cas de le dire ! Puis nous sortons du parc pour nous diriger vers son appartement. Nous marchons, nous marchons, le chemin semble un peu plus long que prévu. Il marche très vite, je le suis… Après une dizaine de minutes de marche, nous arrivons enfin en bas devant sa maison. Il cherche ses clés, ouvre la porte, me fait rentrer.

Il n’y a qu’une seule pièce, qui fait cuisine et salle à manger. C’est meublé un peu dans le même style « vintage » que sa chemise au col long et son pantalon patte d'eph… Au milieu de la pièce, il y a une échelle très large qui permet d’accéder à un grenier via une ouverture dans le plafond. Il allume la lumière de la pièce du haut à partir d’un interrupteur en bas, il me fait signe et me dit vas-y monte.

Je m’exécute, je gravis l’échelle, il me suit tout de suite derrière. Arrivé en haut, il me bloque et me dit attend, le haut de mon corps dans ce que je découvre être la chambre, mais le bas est toujours sur l’échelle, il passe par derrière, et ouvre ma ceinture (il sait comment faire cette fois), ouvre le bouton de mon pantalon, ma braguette, il défait mes lacets de chaussures, retire mes chaussures en les laissant tomber parterre. Il tire mon pantalon vers le bas pour me le retirer, je participe activement en levant la bonne jambe au bon moment, il jette mon pantalon en bas de l’échelle. Je suis en slip et en chaussettes, perché sur le sommet de l’échelle, je ne peux pas voir ce qu’il fait, car il est en dessous de moi.

Il me caresse l’intérieure des cuisses, puis les fesses aussi en passant les mains par l’ouverture des jambes du slip. Il me malaxe les fesses, d’une main, de l’autre il se déssape. Je suis évidemment très excité, un peu inquiet aussi de ne pas voir ce qu’il fait. Mais putain que tout ça est excitant.

Il semble parfaitement maîtriser sa gymnastique acrobatique sur son échelle, il retire toutes ses fringues, sans perdre l’équilibre à un seul moment. C’est tout a fait remarquable, car pendant qu’il se déshabille, sur son échelle donc, il me tripote et m’embrasse l’intérieure des cuisses et la base des fesses. Il est complètement à poil maintenant, il baisse mon slip, en me mordillant les fesses, et en me caressant les couilles et la bite. Il me lèche le bout du gland par derrière, d’instinct j’ouvre les jambes pour le laisser besogner à son aise.

Puis après quelques minutes, il se concentre sur mon petit trou du cul. Il balade un doigt, puis le même doigt, mais enduit de salive… Je crois comprendre qu’il se sert aussi de son pouce pour exercer des pressions sur mon petit trou. Toujours par derrière il m’enveloppe les deux couilles dans une de ses grandes mains, et il vient poser sa bouche sur mon anus. Il m’embrasse d’abord puis petit à petit il me touche avec sa langue humide et chaude. D’une main il me malaxe les couilles, et de l’autre il écarte doucement mes fesses, pour approcher de plus mon trou du cul avec sa bouche et sa langue.

Il me fait monter l’échelle d’un barreau pour que je puisse me mettre à plat ventre sur le sol de la chambre, mais les fesses et le bas du corps toujours suspendu au plafond sur l’échelle. Avec cette position je ne peux plus me toucher, lui seul a accès à ma bite et au reste… Il me lèche le cul en s’appliquant comme un pro, il semble aussi trouver du plaisir à me « rincer » le cul avec sa salive et sa langue. Parfois il me relèche le bout de la queue, les couilles aussi, puis revient toujours sur mon trou du cul. Sans m’en être vraiment rendu compte, je réalise que mes jambes sont maintenant très ouvertes, et je comprends pourquoi cette échelle est très large – c’est plus pratique pour baiser !

Puis, sans le voir, je devine qu’il se lèche un doigt, pour me le mettre dans le cul. Tout doucement. Il m’a tellement bien travaillé que son doigt rentre comme dans du beurre. Plus tard, je l’entends se cracher dans une main et s’enduire la bite de salive. Il passe sa main gauche sur mon ventre, me tire un peu vers lui, comme pour me prendre en main, il monte de quelques barreaux, je sens le devant de ses cuisses sur l’intérieure des miennes. Il est là, il se met en position, me pose sa queue sur le trou du cul. Me maintient l’abdomen avec sa main gauche, se tient à l’échelle de la main droite. Je le sens faire glisser sa bite entre mes fesses, elle est freinée au passage de mon anus dilaté, il pousse vers le haut pour passer l’obstacle sans me pénétrer tout de suite. J’ai le cul arcbouté, je me mets tout naturellement dans l’axe de sa bite. Mon corps entier l’implore de m’enculer. Je suis en transe, je ne sais plus comment je m’appelle, je n’ai plus qu’un seul objectif mono-maniaque, me faire prendre. Là, maintenant, je ne peux plus attendre, c’est physiologique, c’est comme avoir très chaud, très soif, très soif de sa grosse bite, très soif de baise et de foutre.

Il comprend absolument tout, ce type est un expert. Il finit par me foutre le bout de sa queue dans le cul. Mon cul, mon corps tout entier l’accueille avec bonheur. Il me dit « Tiens », « Tiens », « Prends-moi dans ton petit cul »… Il me prend la queue de la main gauche, et commence a me branler, ma bite est dans l’espace… Enfin, il me met toute sa bite dans le cul, et me dit « T’aimes ça salope ! », avant qu’il finisse sa phrase je lâche un cri de jouissance, et je jouis dans la cuisine du haut de l’échelle. Instantanément, il se met à jouir aussi entre mes fesses… Il a deux ou trois secousses qui lui résonnent dans tout le corps. Il se laisse tomber doucement sur mon dos, nous sentons nos cœurs battent à 100 à l’heure… Nous sommes essoufflés. Je devine nos spermes se mélanger sur le carrelage de la cuisine.

jeudi 13 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 1/2



C’était un parc, le long d’une voie express, il y avait une entrée à chaque extrémité, ce qui rendait l’endroit très sécurisant. Je le traversai souvent en rentrant du travail, ou bien le soir après que la nuit soit tombée. Une nuit, je tombe sur ce type, que j’avais déjà rencontré (et consommé sur place !), une petite cinquantaine, massif et un poil bourru, il avait un peu d’Harvey Keitel.

Nous nous tournons autour un instant, je ne suis pas sûr qu’il m’ait reconnu. Je l’attends derrière un buisson, il arrive, lentement. Il vient vers moi, je le regarde, je dirige mon regard vers sa braguette de pantalon… À juste titre, il interprète mon regard comme une invitation !

Il me pose la main sur le sexe au travers de mon pantalon, je fais de même. Il a l’air très excité, il cherche à ouvrir la boucle de ma ceinture, je l’aide. Il déboutonne mon pantalon, ouvre la fermeture éclair de ma braguette, ne prenant pas le temps d’ouvrir davantage, il plonge la main dans mon slip. Quel plaisir de sentir sa grosse main chaude collée à mon sexe par la pression du slip. Il retourne la main, prend un peu d’aise dans ce slip décidément trop juste pour contenir cette grosse main pleine de doigts.

Pendant qu’il me malaxe tout ce qui lui tombe à porté de main dans mon slip, je ne me laisse pas prier pour ouvrir moi-même son pantalon. Il porte un pantalon un peu ringard, genre fringue d’occasion, une chemise avec un col allongé, mais dans son cas il ne s’agit pas de vêtements d’occasion, c’est probablement ce qu’il porte tous les jours ! Bref, j’ouvre son pantalon « vintage », pour mettre à jour son slip d’homme ordinaire (hum…), je mets la main dans le slip, puis d’un mouvement de la main je mets à l’air libre l’ensemble des bijoux de famille. On respire. Il commence à bander, mais l’objet est tout à fait gérable. Il se balade dans mon slip, le déforme à tout va. Je lui triture la bite, les couilles, les couilles, la bite. Nous apprécions l’un et l’autre nos caresses respectives.

Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive.


J’ouvre un peu plus son pantalon, avec les deux mains j’attrape les bords de son slip sur ces deux hanches. Je baisse le tout… Le plus bas possible. Son pantalon patte d’éléphant se révèle extrêmement conciliant. Bonheur. Il a la queue entre les jambes. Je délaisse un peu cette bite qui ne demande qu’à être papouillée. Je me concentre sur son torse, son ventre, je caresse son corps en passant les mains partout, il ne me semble pas avoir oublié le moindre centimètre carré de peau. Il a la peau douce, quelques poils durs de-ci de-là. Je mouille comme un malade. Je maintiens sa chemise ouverte et levée, je m’attarde sur ses gros tetons, je les maltraite entre mes doigts, je les mordille. Sans perdre le contact de sa peau avec ma bouche et ma langue, je descends du sein droit vers son nombril, par le milieu de son thorax, je sens ses poils durs sur ma langue. Je reste un peu sur son nombril, j’enfouis ma langue jusqu’au fond, je le nettoie consciencieusement avec plein de salive. J’y découvre un petit goût de sueur, qui m’excite beaucoup et me donne envie de le lécher davantage pour extraire ce suc savoureux. La salive dégouline sur son ventre, vient se perdre dans ses poils pubiens… Je prends mon temps. Je quitte enfin le nombril, toujours sans perdre le contact, je descends vers sa grosse bite. Il bande comme un fou, je la sens se cogner sur mon cou et ma gorge. Il me tient la tète par derrière, quand il veut que je m’attarde, il m’appui sur la tète, doucement, mais fermement. Je ne fais pas absolument ce que je veux et j’adore ça.

Enfin, je touche sa bite avec mon menton, elle est dure comme du béton. J’ai plein de salive, de bave dans la bouche je lèche ses poils, de nouveau ce parfum de transpiration m’envahit la bouche. Je me dis qu’il a dû avoir chaud dans la journée… Je le lèche entre les couilles et l’intérieure des cuisses… Je lui attrape les couilles, et lui maintient la base de la queue pour pouvoir prendre son gland en bouche. Je le suce doucement, son prépuce recouvre toujours son gland. Délicatement, toujours en le caressant dans ma bouche, je tire sur la peau de sa bite, pour ouvrir le prépuce et sentir en direct la douceur de son gland dans ma bouche et son liquide se rependre dans ma bouche. À ce moment il lâche un tout petit cri de jouissance, une sorte de soupir appuyé. J’en déduis que je fais du bon boulot.

il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».


Nous sommes au milieu d’un buisson dans ce parc désert. Nous avons nos pantalons baissés et nous nous tripotons avec bonheur. Je lui astique le dard, il semble apprécier au plus haut point, au bout de quelques minutes, il me dit « Tu l’aimes ma bite, hein ? Tu veux venir chez moi ? J’habite à deux pas d’ici ? ». Je lui réponds, « Oui d’accord ».

mardi 11 août 2009

Portrait Chinois


J’adore apprendre des choses personnelles sur les blogueurs que je lis. Sans vous révéler d’informations confidentielles, je me suis prêté au jeu du Portrait Chinois, histoire de lâcher quelques infos qui vous permettront de me connaître un peu mieux, en satisfaisant votre curiosité (qui n’est pas un vilain défaut ;-).




Si j’étais une personnalité


Christian Lacroix pour les plus « coutures » de mes amis, Pascal Obispo pour ceux qui écoutent ce type de musique, et enfin Fabien Barthez (le footballeur) pour les plus beaufs d’entre eux. Ces derniers ont bien évidemment totalement tort :-)).

J’aime beaucoup Christian Lacroix, le voir et aussi l’entendre parler. J’ai complètement flashé sur beaucoup de ses modèles, pour leurs styles extrêmement féminins et puis les juxtapositions de couleurs, du rouge, de l’orange, du violet… C’est d’une élégance folle, une élégance de lumière. J'aime tellement la lumière.

J’ai une cravate de lui. Immettable !




Si j’étais une musique


En ce moment (et depuis un moment !), la musique du film Solaris écrite par Cliff Martinez. Il s’agit du remake de 2003 par Steven Soderbergh avec George Clooney et Natascha McElhone.

Cette musique est « pla-nan-te », elle produit sur moi un quasi-état de transe, il me semble que la mélodie affecte directement mon inconscient sans passer par la casse réflexion. Il est vrai que j’ai adoré le film pour la même raison, cette histoire raisonne en moi d’une façon un peu troublante. Vous allez peut-être me trouver morbide (ce que je ne suis pas du tout), mais retrouver des personnes décédées, des êtres chers, leur parler, les toucher comme si elles étaient toujours avec nous, n’est-ce pas un vieux rêve humain ? Un peu comme celui de pouvoir voler ?




Si j’étais un film


Mort à Venise de Visconti (petit nom Luchino). Ce film est dingue, énorme.

Il ne s’y passe presque rien, quasiment que du silence et pourtant ce que vit Dirk Bogarde est bouleversant. Malgré son intelligence et sa culture, son personnage ne sera pas en mesure d’appréhender ce qui lui arrive. Analphabète des sentiments humains, il se perdra dans les interdits et autre cul-de-sac de sa conscience. Face à des sentiments trop grands pour lui, cet homme va péter les plombs, étouffé par les conventions, par l’inhibition de son propre conformisme. Même si inconsciemment, Bogarde pense se protéger en enfouissant tout ça très profondément, là où lui-même ne pourra plus rien retrouver. Il va devenir fou puis mourir, conditionné depuis l’enfance à ne pas accepter la nature de ses sentiments, formaté par la morale de l’époque. Être accepter par les siens, ou par soi pour vivre sa différence, il finira par crever de ne pas faire de choix, à force de se nier à ce point.




Si j’étais une pièce de théâtre


Tartuffe de Molière. Bon, je passe vite sur l’aspect religieux, pourtant essentiel dans la pièce, mais qui me fait gerber. Dieu est une invention de l’homme qui a peur de la mort, je n’ai pas peur de la mort !

Non, ce qui m’éclate dans cette pièce, c’est le côté « fais-ce que je dis, mais pas ce que je fais ». Ainsi, dans la vie de tous les jours, dans la rue, au travail, dans les palais de justice, etc. nous sommes entourés de gens comme ça, dont la vie n’est qu’un gros mensonge, mais qui nous jugent, du haut de leur moralité à la con.




Si j’étais un animal


Une « royale bête », un « nuage chaud au frais museau » comme dit Brigitte Fontaine dans sa chanson Chat.

Pour moi, les chats sont des êtres de plaisirs et de jouissance, de grâce, et à la différence des autres animaux, c’est clair, ils en sont conscients. Si vous en avez un, regarder le dormir, respirer, le poil assoupi dans le soleil et les oreilles éveillées, sentinelles. Le chat ne cède jamais, le chat est indépendant, il décide (seul) de ce qui est bon pour lui. Le chat sait, c’est tout.




Si j’étais une peinture


Un bleu Klein. Parce que c’est élitiste, beaucoup de gens passent devant un bleu Klein et ne comprennent rien.

D’abord, je trouve que cette œuvre est osée, aujourd’hui toujours, mais à l’époque recouvrir une toile de pigments bleus, c’était franchement culotté. D’autre part, ça fonctionne ! Ce bleu est magico-magnifique.

Posté (ou prostré ?) devant la toile, on la regarde, et on perçoit une profondeur, une notion d’infini, un appel du vide. C’est un peu comme si nos yeux étaient fermés, comme si nous étions en nous-mêmes, en introspection. Bref, c’est presque métaphysique. Je pense cependant que le procédé est simplissime, il suffit d’arrêter de chercher, et juste d’écouter, de sentir, de toucher du regard.




Si j’étais une bâtisse


Une chapelle romane, au milieu de la nature, dans les champs, toute simple. Tout en rondeur, chargée, symboliquement chargée. Quelques fresques sur les murs intérieurs, murs intimes de la chapelle, ou bribes de fresques devrais-je dire, effacées, comme un souvenir presque oublié.

Des vieilles pierres, des volumes et des murs ronds, épais, des découpes aux courbes généreuses pour laisser la lumière entrer. Des toitures en tuiles ocre, lavées par les siècles de soleil. Des vieilles pierres qui parlent aux gens, à nos racines, à ce que nous sommes, finalement. Qui parlent pour raconter les hommes et les femmes, les souffrances et les bonheurs, la vie.

Et surtout pas de fioritures gottiques, de mise en scènes idolâtres, pas de vitraux psychédéliques et aguicheurs. Les couleurs du ciel et de la terre me suffisent.

lundi 10 août 2009

Ménage à trois, à Paris ? 1/2


Ce week-end, mon homme et moi, nous sommes allez à Paris pour faire les touristes (d’où la photo de la tour Eiffel qui illustre ce poste). Samedi soir, nous étions au restaurant vers le pont Louis Philippe et juste à côté de nous se trouvaient deux types, qui d’après ce j’ai pu comprendre en écoutant leur conversation venaient de se rencontrer dans un lieu « proche de Notre Dame ». En fait, la conversation avançant, il est très vite devenu de plus en plus clair que l’endroit proche de Notre Dame où ils s’étaient rencontrés devait être un bar gay dans le marais…

C’est celui face à moi qui parlait le plus, il essayait d’impressionner son nouvel ami avec sa culture… L’autre, italien, semblait moyennement touché, mais acquiesçait poliment et cachait son manque d’intérêt en posant des questions de-ci de-là… Mon mec avait complètement flashé sur l’Italien, son accent, ses yeux, etc. Bref, il le trouvait vraiment craquant.

Le plus volubile, lui, son truc c’était les cathédrales ! Il en était féru. Pourquoi pas ? À l’entendre, le bleu des vitraux de la cathédrale de Chartres vaut le détour (donc si vous passez par là…). Il énumérait une sorte de tour de France des cathédrales, ville par ville… Chaque cathédrale étant accompagnée d’une petite présentation touristique de sa ville… Personnellement, j’ai été surpris qu’à propos de Reims (et de sa cathédrale !) il ne dise pas un mot du champagne. Enfin quoi, le champagne, un soir de drague, c’est tout de même plus adapté que les cathédrales, non ? J’avais une envie folle d’intervenir pour corriger ce manque. Je me suis retenu. J’ai eu tort, vous le comprendrez plus tard.

Une fois leur dîner terminé, l’Italien se lève de table. Je ne le remarque pas, mais mon mec me dit, en regardant en coin dans sa direction, qu’il se joue quelque chose en ce moment. Qu’il me dira tout quand nous serons seuls… Waouh, je n’ai rien vu, de quoi s’agit-il ?

À Suivre...

vendredi 7 août 2009

Jarek, Genre Plombier Polonais 2/2




Nous sommes seuls dans les toilettes. Il me lance un regard du genre « ce n’est pas très safe ici » pour seule réponse je commence à le caresser entre les jambes. Sans relâcher l’attention, je pose mon sac à dos sur le crochet derrière la porte. Je m’attendais à plus de résistance de sa part, mais surprise, agréable surprise, il cherche à ouvrir mon pantalon, c’est toujours un peu difficile, il fait des efforts, il est surtout très enthousiaste ! Très vite, il se lâche complètement, il y va franco et je comprends qu’il doit avoir une envie farouche de se vider les couilles, cela n’est pas pour me déplaire.

Je me consacre moi aussi au déshabillage du monsieur, il se laisse faire, c’est super. Je lui baisse son pantalon, mais en prenant soin de laisser en place son slip. Un slip noir, tout à fait ordinaire, comme j’aime, dans le style le slip de tous les jours. Il bande déjà dans son slip. Il a quelques poils très noirs sur une peau bien blanche. Il veut lui aussi me voir à poil, il baisse mon froc et mon caleçon, d’un seul coup, sans ménagement. Il semble satisfait.

Je lui passe la main dans son slip, il bande de plus en plus, il m’aide à baisser son slip pour me montrer sa belle bite. Je le défroque jusqu’aux genoux, suffisamment pour me permettre de toucher tout ce que je veux toucher, son ventre, ses cuisses, l’intérieur de ses cuisses, son entrejambe… Je commence à avoir des palpitations et à perdre pieds.

Comme je l’avais anticipé, il est superbe à poil, je ne suis pas déçu. Je commence à mouiller. Je lui prends le sexe dans la bouche et je commence à le sucer avec bonheur. Il me fait comprendre qu’il adore. Je descends son pantalon et son slip le plus bas possible. Tout en le suçant, je lui passe la main entre les jambes, je tente de lui ouvrir les cuisses pour pouvoir lui caresser l’anus. Il bloque. Il est très ferme sur ses deux jambes, pas près d’ouvrir son petit cul. Sans doute un message du style : « j’suis pas une pédale ! ».

Je remonte à la hauteur de son visage, je suis face à lui, nous nous branlons, je lui montre en lui prenant la main que je veux qu’il me mette un doigt dans le cul. Il est nul, il ne comprend rien. Plutôt il me malaxe les couilles, ce dont j’ai horreur. Je reprends sa main, je le guide de nouveau vers mon trou du cul, je bande comme une bête, lui aussi. Après quelques tentatives infructueuses, enfin il comprend ou je veux en venir. Il me glisse timidement le bout de son index dans le cul. Ah, le plaisir monte. Je lui souffle « oui, oui, oui ». Je lui lèche l’oreille, je note son odeur très sensuelle.

Il me fait me retourner, je comprends qu’il veut me baiser. Je m’exécute. En fait, non, il voulait juste me doigter plus consciencieusement. Il semble apprécier de me faire plaisir. Pas mal me dis-je !

Je sens que je vais jouir, je me dirige vers la cuvette des toilettes, il me suit, en prenant bien soin de me laisser son doigt dans le cul… Je suis au bout, je vais tout cracher.

Il me chatouille le trou de balle avec son doigt. L’orgasme monte, il arrive, il est là. Je le laisse venir dans un soupir.

À son tour il s’approche de la cuvette, il est très existé, je tente de lui glisser mon doigt dans l’anus, et oh surprise, il ouvre les cuisses pour me laisser tripatouiller sa petite capsule. On dirait même qu’il apprécie vraiment le truc ! Est-ce nouveau pour lui ? Lui ais-je fais découvrir quelque chose ? Sa respiration devient haletante, il se penche sur la cuvette, il crache dynamiquement une belle giclée qui vient s’éteindre dans la cuvette. Il continue de se branler doucement, comme pour revenir lentement à la vie et retrouver son souffle…

Je crois que c’était pas mal, aussi bien pour lui que pour moi.

Après quelques secondes d’atterrissage, nous nous essuyons avec du papier cul avant de nous rhabiller. J’ouvre la porte des toilettes, lui donne une petite tape sur les fesses, il me sourit, lui demande de partir par là, quand à moi je pars par ici…

mercredi 5 août 2009

Jarek, Genre Plombier Polonais 1/2


Ce midi je suis allé faire un tour dans le parc après avoir déjeuné. En fait, je vais faire un tour dans le parc presque tous les jours, dans l’espoir de me mettre quelque chose dans la main… ou dans la bouche.

Ce midi donc, assis sur un banc ombragé, j’attendais, l’air de rien, avec les yeux qui cherchent de gauche à droite, derrière, devant, puis inversement, qui cherchent de la chair fraîche, comestible et consentante.

Sans trop attendre je vois un mec qui parle au téléphone portable, il est étranger, il parle peut-être polonais ? Ou en tout cas une langue slave. Il a une quarantaine d’année, look franchement viril, petit et trapu, cheveux très courts, visage rond. Il est plutôt bien gaulé, un superbe petit cul bien rond. Il porte un tee-shirt avec une veste et un pantalon en jean. Il a un petit côté prolo, genre plombier polonais, ça me branche à fond.

Je ne semble pas l’intéresser plus que ça, il retourne sur ses pas, sans même me voir. Damned. Toujours au téléphone, il se dirige vers un petit jardin isolé et très arboré. J’attends un peu, car je n’y crois pas trop, puis je le perds du regard pour le retrouver quelques minutes plus tard, toujours dans le jardin. Il n’est plus au téléphone. Je me décide, il ne doit pas être là par hasard.

Problème, je ne suis pas le seul, il y a là deux mecs qui rodent, et qui visiblement sont ici pour la même chose. L’endroit ne permet pas de s’isoler, il faut donc partager et a priori je n’aime pas partager ! Je vais, je viens, je tourne, c’est un jour de chance, l’un des deux mecs se tire. Mon gibier est assis sur une grosse pierre, au centre du jardin. Son visage est juste à hauteur de sexe, mais il ne semble pas être de ceux qui sucent, mais plutôt de ceux qui se font sucer. Je vais, je viens, je tourne… L’autre type est toujours là. Je passe par derrière, l’air de rien - toujours l’air de rien ;-), et je reviens vers lui, coup de bol monstrueux le deuxième type se casse. Nous ne sommes plus que tous les deux dans ce petit jardin protégés par les arbres et les buissons. Il me regarde. Ah ! Enfin, il m’a vu. Je me positionne face à lui, mais à bonne distance. Il fume une cigarette, il me regarde, je mets ma main dans ma poche de pantalon, je me touche en m’arrangeant pour que cela soit très visible.

Touche ! Il réagit positivement. Il jette sa cigarette, comme pour passer aux choses sérieuses. Je me caresse le sexe à travers mon pantalon, il ouvre les jambes et se caresse aussi. Je m’approche, je suis tout près de lui. Je suis très excité, il me touche l’entrejambe. J’ai une envie folle de lui attraper la tête pour la lui presser contre ma braguette, avec sa bouche ouverte sur le tissu de mon pantalon, pour qu’il hume mon sexe. Il se lève, je lui colle la main sur la braguette, il bande. Je suis limite pétage de plomb. Ouah.

Il faut faire gaffe, car quelqu’un peut surgir de n’importe où, un flic, un passant, des mômes… Bref, il faut bien mater partout. Ça se complique, il a l’air bloqué, genre hétéro qui vient jusque-là et qui renonce, comme ça, sans préavis. Ça m’est déjà arrivé ce type de plan foireux. Il me fait comprendre que l’endroit n’est pas sécure, qu’il ne peut rien faire ici. Gna gna gna. Je me dis merde, c’est un plan à la con. Je suis hyper existé et il ne va rien se passer… Je vais devoir me finir à la main dans les chiottes du bureau.

Je lui dis que je connais un endroit bien, d’un mouvement de la tête je lui dis que c’est par là… Il n’y croit pas, sans parler il me fait comprendre qu’il ne veut pas aller là-bas, que ce n’est pas « comme il veut ». Il me gonfle grave, je sens que le plan capote. Puis, il se dirige vers un gros arbre, il se planque derrière, je le suis.

Il a sorti sa queue, ah putain comme elle belle sa queue. Il est à moitié décalotté, il bande un peu mou. Il la tient entre deux doigts, me la faire voir, me demande tacitement d’approuver. Je ne me fais pas prier, sans réfléchir, je me positionne correctement entre les racines de l’arbre et le prends dans ma bouche. Gourmand de la sentir durcir dans ma bouche, frustré de ne pas pouvoir en voir plus et de ne pas pouvoir caresser ses jambes, ses fesses, son corps. Je ne sais plus très bien comment je m’appelle. Je suis en transe. Il bande de plus en plus, je l’astique du mieux que je peux.

Merde ! Nous sommes dérangés, il se retire en me faisant signe que quelqu’un vient. Je suis affamé. Je m’écarte de l’arbre, un nouveau type en tee-shirt rouge se pointe, je ne suis pas sûr qu’il nous ait vus en action, mais de toute façon, il a tout compris.

Putain de merde, le tee-shirt rouge s’assoit sur la grosse pierre. Il a l’intention de rester là le con. Je reviens vers mon ami le Slave, pour lui dire de me suivre, il proteste. Aille ! je vais le perdre. Merde, merde, merde ! J’insiste, en lui disant que c’est bien. Je quitte le jardin en croissant les doigts pour qu’il me suive. Je me retourne, il est quelques mètres derrière. J’accélère, je me retourne régulièrement pour m’assurer qu’il est toujours là. Je flippe grave, il est possible qu’il se lasse à n’importe quel moment et qu’il me plante au milieu du parcours vers des toilettes de ma connaissance. Je sors du parc, il est toujours derrière, je traverse la grande rue, il est toujours derrière… Je suis tout près de l’endroit tranquille, je ralentis, je regarde, il est toujours là. Oui, oui, je sais ce que vous vous dites, mais j’en ai déjà perdu deux comme ça (je vous raconterai plus tard). Je marque un temps d’arrêt, car je suis sur le point de rentrer dans un bâtiment : 1 – il faut qu’il me voit rentrer là, 2 – il ne faut pas qu’il me perde dans le bâtiment. Attention c’est complique là. Ça ne rigole plus. Il ne sait pas où nous allons, il faut qu’il me fasse un minimum confiance…

Il me suit toujours, nous sommes dans le hall de l’immeuble, nous devons traverser la cour puis prendre un escalier qui descend au sous-sol, où sont les toilettes. Je ralentis, il est bien accroché et apparemment il a suffisamment de coffre pour me suivre. Nous descendons l’escalier, les toilettes sont justes sur la gauche, elles sont libres, je rentre lui demande de rentrer vite pour ne pas nous faire remarquer. Il rentre, je ferme le verrou de la porte. Nous sommes seuls.