jeudi 27 août 2009

Ménage à Trois en Plein Air


Hier soir en rentrant d’un déplacement, je me suis trouvé – par le plus grand des hasards - du côté de mon parc favori. Il était 23 h 30 environ, je n’y suis jamais allé à une heure aussi tardive, j’ai eu envie d’aller faire un tour, pour voir…

Quelle surprise, le parc était plein de types qui cherchaient la même chose que moi, c’est à dire de la chair fraîche et consentante ! C’était presque trop, on aurait dit un métro aux heures d’affluence. Ils étaient partout, certains attendaient en matant de droite à gauche, parfois en reluquant sans aucune retenue. D’autres marchaient en faisant semblant de juste passer… Oui, oui, bien sûr, ils sont dans un parc à presque minuit et ils veulent nous faire croire qu’ils rentrent du bureau, ou qu’ils sont venus prendre l’air. Je me marre.

Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme


Hors, je n’aime pas l’affluence, quand c’est trop il devient impossible de faire quoi que ce soit sans avoir à partager. Je n’aime pas partager. Je m’éloigne donc un peu du rush, pour voir s’il y avait un peu moins d’action dans les allées alentour. Et là, je reperds un petit Arabe, tout à fait mon style, pas trop grand, un peu enrobé, mais bien ferme. Je ne sais pas d’où il sortait, mais il avait un sac à dos, ok, rien d’anormal, mais il avait aussi un sac qui devait contenir un ordinateur. Il faisait très très chaud cette nuit-là, et il portait un blouson ! Un blouson léger certes, mais de trop vu la température. Il devait sortir de son bureau pour le coup celui-là !

Il me remarque, je me dirige vers un endroit un peu près désert… Il me suit. Arrivé dans un coin tranquille, il ne traîne pas. Il pose ses sacs, ouvre son pantalon et le descend sur ses pieds. Rapide, le mec. Je m’avance en me touchant la bite, il m’attend en se caressant, il bande déjà bien. Je lui prends la bite, il cherche à ouvrir mon pantalon. Vu que quelqu’un est susceptible d’arriver d’un moment à l’autre, je descends mon pantalon et caleçon à mis fesses seulement. On ne sait jamais, il fait très noir, et je ne connais pas bien l’endroit à cette heure. Nous nous caressons gentiment, il se baisse pour me sucer, il fait ça très bien.

Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention


Je vois un jeune type arriver, il est à quelques mètres, il porte un short long et une chemise rouge à manches courtes. Il se touche la bite, démarche de contact, oh combien classique ;-). Faute d’obtenir une invitation nette et franche de ma part (mon suceur est trop concentré à ce qu’il fait pour le voir et donc donner son avis), il déduit qu’il peut nous rejoindre. Il n’est plus qu’à cinquante centimètres de moi, sa bistouquette, belle bistouquette, est à l’air libre et appelle mon attention. Je ne la fais pas attendre, de la main gauche je la tripatouille et je la sens – quasi immédiatement – grandir mes doigts. Il glisse sa main dans mon dos, sous mon polo et puis redescend vers mes fesses. Il descend encore un peu plus pour m’exciter les fesses et, devinez quoi, me mettre son petit doigt dans le trou du cul…

Je suis alors très proche du nirvana, l’un à mon trou de balle, l’autre tout à mon obus (merci Gainsbourg pour l’inspiration). Je commence à me tortiller de plaisir, le plaisir qui monte, ils comprennent que ça ne va pas tarder, ils s’appliquent pour me faire jouir. Je dégage doucement le suceur sur ma gauche, je lui plaque la tète tout près de mon sexe, il a le nez dans ma touffe, je me branle pour me finir, très vite je crashe une longue giclée de foutre bleuté dans la nuit noire.

d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue


Le suceur se jette sur la bite chaude du type en chemise rouge, pour ma part, je me mets à branler le petit Arabe qui aime sucer. Il me freine, je comprends qu’il est tout prêt de jouir. Je le branle doucement pour maintenir la pression sans le faire jouir, nous attendons la chemise rouge. Nous n’avons pas attendu longtemps, il nous lâche un petit soupir, censé nous préparer au bouquet final. Je reprends en main le suceur, lui-même c’est redressé pour mieux voir la queue de son acolyte, d’une main il le branle, de l’autre il s’enduit les doigts du foutre encore chaud de ma queue. Ils sont tout près du but, la chemise rouge part en premier, il est suivi de peu par le petit Arabe.