vendredi 7 août 2009

Jarek, Genre Plombier Polonais 2/2




Nous sommes seuls dans les toilettes. Il me lance un regard du genre « ce n’est pas très safe ici » pour seule réponse je commence à le caresser entre les jambes. Sans relâcher l’attention, je pose mon sac à dos sur le crochet derrière la porte. Je m’attendais à plus de résistance de sa part, mais surprise, agréable surprise, il cherche à ouvrir mon pantalon, c’est toujours un peu difficile, il fait des efforts, il est surtout très enthousiaste ! Très vite, il se lâche complètement, il y va franco et je comprends qu’il doit avoir une envie farouche de se vider les couilles, cela n’est pas pour me déplaire.

Je me consacre moi aussi au déshabillage du monsieur, il se laisse faire, c’est super. Je lui baisse son pantalon, mais en prenant soin de laisser en place son slip. Un slip noir, tout à fait ordinaire, comme j’aime, dans le style le slip de tous les jours. Il bande déjà dans son slip. Il a quelques poils très noirs sur une peau bien blanche. Il veut lui aussi me voir à poil, il baisse mon froc et mon caleçon, d’un seul coup, sans ménagement. Il semble satisfait.

Je lui passe la main dans son slip, il bande de plus en plus, il m’aide à baisser son slip pour me montrer sa belle bite. Je le défroque jusqu’aux genoux, suffisamment pour me permettre de toucher tout ce que je veux toucher, son ventre, ses cuisses, l’intérieur de ses cuisses, son entrejambe… Je commence à avoir des palpitations et à perdre pieds.

Comme je l’avais anticipé, il est superbe à poil, je ne suis pas déçu. Je commence à mouiller. Je lui prends le sexe dans la bouche et je commence à le sucer avec bonheur. Il me fait comprendre qu’il adore. Je descends son pantalon et son slip le plus bas possible. Tout en le suçant, je lui passe la main entre les jambes, je tente de lui ouvrir les cuisses pour pouvoir lui caresser l’anus. Il bloque. Il est très ferme sur ses deux jambes, pas près d’ouvrir son petit cul. Sans doute un message du style : « j’suis pas une pédale ! ».

Je remonte à la hauteur de son visage, je suis face à lui, nous nous branlons, je lui montre en lui prenant la main que je veux qu’il me mette un doigt dans le cul. Il est nul, il ne comprend rien. Plutôt il me malaxe les couilles, ce dont j’ai horreur. Je reprends sa main, je le guide de nouveau vers mon trou du cul, je bande comme une bête, lui aussi. Après quelques tentatives infructueuses, enfin il comprend ou je veux en venir. Il me glisse timidement le bout de son index dans le cul. Ah, le plaisir monte. Je lui souffle « oui, oui, oui ». Je lui lèche l’oreille, je note son odeur très sensuelle.

Il me fait me retourner, je comprends qu’il veut me baiser. Je m’exécute. En fait, non, il voulait juste me doigter plus consciencieusement. Il semble apprécier de me faire plaisir. Pas mal me dis-je !

Je sens que je vais jouir, je me dirige vers la cuvette des toilettes, il me suit, en prenant bien soin de me laisser son doigt dans le cul… Je suis au bout, je vais tout cracher.

Il me chatouille le trou de balle avec son doigt. L’orgasme monte, il arrive, il est là. Je le laisse venir dans un soupir.

À son tour il s’approche de la cuvette, il est très existé, je tente de lui glisser mon doigt dans l’anus, et oh surprise, il ouvre les cuisses pour me laisser tripatouiller sa petite capsule. On dirait même qu’il apprécie vraiment le truc ! Est-ce nouveau pour lui ? Lui ais-je fais découvrir quelque chose ? Sa respiration devient haletante, il se penche sur la cuvette, il crache dynamiquement une belle giclée qui vient s’éteindre dans la cuvette. Il continue de se branler doucement, comme pour revenir lentement à la vie et retrouver son souffle…

Je crois que c’était pas mal, aussi bien pour lui que pour moi.

Après quelques secondes d’atterrissage, nous nous essuyons avec du papier cul avant de nous rhabiller. J’ouvre la porte des toilettes, lui donne une petite tape sur les fesses, il me sourit, lui demande de partir par là, quand à moi je pars par ici…