lundi 17 août 2015

Gibier consentant, mais en deux temps


Le sous-vêtement sale en question, vous comprendrez en lisant...

Alors que je me promenai dans mon sous-bois favori à la recherche d’une ou deux bites à purger, je tombe sur ce type, clopin-clopant avec sa béquille, dans les hauts et les bas du terrain forestier – pas adapter ! En y regardant de plus près, je me rends compte qu’il s’agit d’un jeune rom, d’environ 25 ans. Avec son look et sa béquille, il ressemble à ceux qui mendient quelque chose aux conducteurs des voitures arrêtées au feu. Mais que fait-il là ?

Il ressemble à ceux qui promènent leur chien alibi sur les lieux de drague

Il prend un air ultra-détaché, oui mais dans les bois… Rien de plus que sa simple présence, semble-t-il nous dire... incongrue ? Il ressemble à ceux qui promènent leur chien alibi sur les lieux de drague, ou ceux qui, incognito, passent et repassent… à vélo. Il me fait penser à mon chat qui passe devant la télé, la queue en l’air au minimum, qui passe et repasse. Qui va même jusqu’à, avec un détachement absolu, se poster devant la télé… pour voir si enfin je vais faire attention à lui. Il me dira « ben quoi ? » si je le remarque d’une façon un peu trop « fous le camp d’vant la télé, putain ! ». Oui, oui mon chat parle, vous pouvez ne pas me croire, mais c’est exactement ce qu’il me dit lorsque je lui demande de dégager de l’axe de la télé.

Bref, j’en reviens à mon petit Rom. Pas simple. Est-ce qu’il cherche de la bite ? Est-ce qu’il cherche autre chose ? Je le trouve immédiatement ultra-sexy, je décide de le suivre… D’abord de loin, puis je me rapproche, enfin j’essaie, car plus j’avance, plus il avance, et donc j’en viens à accepter la dure réalité : il me fuit. Et même il part très loin, dans des coins très inaccessibles, qu’il ne devrait pas pratiquer avec sa béquille, car oui je vous le rappelle, il boîte un peu et utilise une béquille. Je me demande d’ailleurs si cette béquille n’est pas un accessoire ? Peut-être qu’il n’a pas de problème de hanche, de genou ou de je ne sais quoi…

Il est trop loin, il va trop loin je l’abandonne. J’ai dû prendre mes rêves pour la réalité, ce type n’était pas à la recherche d’un plan cul. Il cherchait des champignons, donc. Je dis ça, car j’avais vu une famille de Roms cueillir des champignons ici même !

je freine le pas pour voir s’il va me distancer ou pas !

Mais quelques mois plus tard… Je revois le p’tit Rom parmi nous. Toujours, avec ça béquille, toujours clopin-clopant… Il est là, il rode, il cherche quelque chose c’est évident. Je règle mon GPS personnel sur lui, je le suis à vue. Il semble moins indépendant que la fois précédente, il me semble même qu’il ralentit pour m’attendre parfois. En effet parfois je freine le pas pour voir s’il va me distancer ou pas ! Il répond lui aussi par un ralentissement, ce qui me rempli de joie.

Je le poursuis comme ça pendant un moment, mais n’en voyant pas la fin, je me dis qu’il faut changer de tactique, sauf à faire une grande balade dans les bois – je ne suis pas là pour ça. Je décide donc d’arrêter de le suivre, de marquer une pause, de faire demi-tour, de disparaître de sa vue. Et là, miracle, alors que je le surveille discrètement, je me rends compte qu’il fait demi-tour aussi, ne se sachant pas observé, il y a va franco, il revient sur ses pas. Je suis là derrière le gros arbre, il ne le sait pas. Il avance, il avance, il avance. Et alors qu’il est 2-3 mètres, je sors de derrière le gros arbre, et tac. Il est surpris, panique un peu, change de direction en passant à son tour derrière l’arbre. Je viens à lui par l’autre côté – trop facile. Il est comme coincé-consentant. Comme paralysé, il attend !

Il se laisse toucher, toujours en appui sur la béquille

Je m’approche, la main en avant-poste, il ne bouge pas, même lorsque je touche la braguette de son pantalon de toile. Il a chaud, je découvre qu’il transpire un peu sous son t-shirt lorsque j’y passe ma main. Légèrement poilu autour du nombril. Il se laisse toucher, toujours en appui sur la béquille. Il respire comme s’il avait eu peur de me perdre, peur de perdre de plan cul qui s’annonçait et qu’il attendait depuis longtemps, beaucoup trop longtemps. Ma main chute sur le bouton très dur à ouvrir de son pantalon. À force de persévérance obsessive et brutale, j’arrive à libérer le bouton de la ceinture. Toujours sans réaction de sa part, j’entrouvre la fermeture éclair qui ne montre aucune résistance. Il a chaud très chaud, je l’aère… Je lui passe la main entre les jambes sur son pantalon, pour créer une sorte de progression, de détour, alors que son slip est bien apparent dans l’entrebâillure de sa braguette grande ouverte. Je crois deviner une légère érection, je choisis de remettre à plus tard la vérification de ce point. Je remonte la sueur jusqu’aux tétons sous le t-shirt, j’y découvre des petits tétons bien fermes, bien pointus, bien bandés, genre tétons de chatte. Il y en a deux ! Je suis gâté, je ne sais lequel choisir, je les caresse l’un et l’autre, l’un au pouce et l’autre à l’index.

un corps tout neuf auquel j’aimerai apprendre une langue étrangère

Je perçois qu’il ne comprend pas bien pourquoi je fais durer, pourquoi je tourne et retourne autour. Mes pratiques ne sont pas les siennes. Est-ce sa première fois ? Est-ce qu’il y a choc culturel ? Je suis face à un corps tout neuf auquel j’aimerai apprendre une langue étrangère, mais personne ne devient si vite bilingue… J’accélère le rythme, je plonge dans son pantalon, au travers de son slip, j’y découvre une bite presque molle, presque dure, dans le no man’s land de l’excitation qui s’annonce. Je descends son pantalon sous ses genoux, son slip apparaît totalement, sur une peau quasi sans poil, légèrement mate… Je m'accroupis. Mon visage est à la hauteur de son sexe, je lui caresse l’intérieur des cuisses, son slip se met à gonfler doucement, discrètement.

À quelques centimètres de son slip, je constate que mon petit Rom n’est pas ultra soigné. J’en suis informé notamment par son odeur et la tâche douteuse de son boxer qui fut blanc. Mais je suis excité grave, très grave, et alléché par l'odeur je me jette sur ce slip avec ma bouche et ma langue, essayant d’en deviner le contenu à coup de langue et de lèvres. Ainsi je comprends d’un coup pourquoi Napoléon avait demandé à Joséphine « ne te lave pas, j’arrive ! ». L’autre prend appui sur sa béquille, surpris de la tournure soudaine de l’aventure. J’enlève, pardon je descends son slip comme on l’arrache, je lui passe la main entre ses jambes, un doigt arrive à son anus qui se resserre d’un coup comme un reflex. De la bouche j’avale son sexe prébandant jusqu’à avoir ses poils pubiens dans les narines. Je respire. D’un coup il bande et me pousse le palais avec sa queue.

Il est totalement à moi, je suis partout

Ne sentant pas d’ouverture évidente du côté de son petit trou du cul, pourtant si branchant, je me concentre sur sa bite parfumée et goûteuse, elle est petite, parfaite pour vivre à plein ce que je lui offre. Les petites couilles font boom-boom sur mon menton et sur l’intérieur de ses cuisses. De la main je lui caresse les fesses, qu’il a bien rondes, lisses et musclées. Je lâche sa queue quelque temps pour lui sucer ses tétons de chatte, il s’adosse à l’arbre, le support de la béquille et de ses deux jambes ne suffisant plus. Il est totalement à moi, dans mes bras, je suis partout, avec mon corps, mes mains, ma bouche, et même mon âme. Je reviens à son pénis dur comme du bois, je n’ai que très peu de choses à faire pour le sentir cracher dans ma bouche son foutre chaud et salé jusqu’au tréfonds de ma gorge. Une, deux ou trois saccades successives, il avait les couilles bien pleines le salopiaud. Le spasme fut vocal aussi, comme un petit bruit d’insecte, discret et contenu, échappé de ses poumons, une sorte de signature, de paraphe qui nous dit comment c’était bon.