samedi 15 août 2009

L’Archétype du Mec qui me Branche (Sexuellement !) 2/2




Nous nous rhabillons, nos bites respectives ne comprennent pas encore pourquoi nous remballons avant de conclure. Ce n’est que pour mieux sauter, c’est le cas de le dire ! Puis nous sortons du parc pour nous diriger vers son appartement. Nous marchons, nous marchons, le chemin semble un peu plus long que prévu. Il marche très vite, je le suis… Après une dizaine de minutes de marche, nous arrivons enfin en bas devant sa maison. Il cherche ses clés, ouvre la porte, me fait rentrer.

Il n’y a qu’une seule pièce, qui fait cuisine et salle à manger. C’est meublé un peu dans le même style « vintage » que sa chemise au col long et son pantalon patte d'eph… Au milieu de la pièce, il y a une échelle très large qui permet d’accéder à un grenier via une ouverture dans le plafond. Il allume la lumière de la pièce du haut à partir d’un interrupteur en bas, il me fait signe et me dit vas-y monte.

Je m’exécute, je gravis l’échelle, il me suit tout de suite derrière. Arrivé en haut, il me bloque et me dit attend, le haut de mon corps dans ce que je découvre être la chambre, mais le bas est toujours sur l’échelle, il passe par derrière, et ouvre ma ceinture (il sait comment faire cette fois), ouvre le bouton de mon pantalon, ma braguette, il défait mes lacets de chaussures, retire mes chaussures en les laissant tomber parterre. Il tire mon pantalon vers le bas pour me le retirer, je participe activement en levant la bonne jambe au bon moment, il jette mon pantalon en bas de l’échelle. Je suis en slip et en chaussettes, perché sur le sommet de l’échelle, je ne peux pas voir ce qu’il fait, car il est en dessous de moi.

Il me caresse l’intérieure des cuisses, puis les fesses aussi en passant les mains par l’ouverture des jambes du slip. Il me malaxe les fesses, d’une main, de l’autre il se déssape. Je suis évidemment très excité, un peu inquiet aussi de ne pas voir ce qu’il fait. Mais putain que tout ça est excitant.

Il semble parfaitement maîtriser sa gymnastique acrobatique sur son échelle, il retire toutes ses fringues, sans perdre l’équilibre à un seul moment. C’est tout a fait remarquable, car pendant qu’il se déshabille, sur son échelle donc, il me tripote et m’embrasse l’intérieure des cuisses et la base des fesses. Il est complètement à poil maintenant, il baisse mon slip, en me mordillant les fesses, et en me caressant les couilles et la bite. Il me lèche le bout du gland par derrière, d’instinct j’ouvre les jambes pour le laisser besogner à son aise.

Puis après quelques minutes, il se concentre sur mon petit trou du cul. Il balade un doigt, puis le même doigt, mais enduit de salive… Je crois comprendre qu’il se sert aussi de son pouce pour exercer des pressions sur mon petit trou. Toujours par derrière il m’enveloppe les deux couilles dans une de ses grandes mains, et il vient poser sa bouche sur mon anus. Il m’embrasse d’abord puis petit à petit il me touche avec sa langue humide et chaude. D’une main il me malaxe les couilles, et de l’autre il écarte doucement mes fesses, pour approcher de plus mon trou du cul avec sa bouche et sa langue.

Il me fait monter l’échelle d’un barreau pour que je puisse me mettre à plat ventre sur le sol de la chambre, mais les fesses et le bas du corps toujours suspendu au plafond sur l’échelle. Avec cette position je ne peux plus me toucher, lui seul a accès à ma bite et au reste… Il me lèche le cul en s’appliquant comme un pro, il semble aussi trouver du plaisir à me « rincer » le cul avec sa salive et sa langue. Parfois il me relèche le bout de la queue, les couilles aussi, puis revient toujours sur mon trou du cul. Sans m’en être vraiment rendu compte, je réalise que mes jambes sont maintenant très ouvertes, et je comprends pourquoi cette échelle est très large – c’est plus pratique pour baiser !

Puis, sans le voir, je devine qu’il se lèche un doigt, pour me le mettre dans le cul. Tout doucement. Il m’a tellement bien travaillé que son doigt rentre comme dans du beurre. Plus tard, je l’entends se cracher dans une main et s’enduire la bite de salive. Il passe sa main gauche sur mon ventre, me tire un peu vers lui, comme pour me prendre en main, il monte de quelques barreaux, je sens le devant de ses cuisses sur l’intérieure des miennes. Il est là, il se met en position, me pose sa queue sur le trou du cul. Me maintient l’abdomen avec sa main gauche, se tient à l’échelle de la main droite. Je le sens faire glisser sa bite entre mes fesses, elle est freinée au passage de mon anus dilaté, il pousse vers le haut pour passer l’obstacle sans me pénétrer tout de suite. J’ai le cul arcbouté, je me mets tout naturellement dans l’axe de sa bite. Mon corps entier l’implore de m’enculer. Je suis en transe, je ne sais plus comment je m’appelle, je n’ai plus qu’un seul objectif mono-maniaque, me faire prendre. Là, maintenant, je ne peux plus attendre, c’est physiologique, c’est comme avoir très chaud, très soif, très soif de sa grosse bite, très soif de baise et de foutre.

Il comprend absolument tout, ce type est un expert. Il finit par me foutre le bout de sa queue dans le cul. Mon cul, mon corps tout entier l’accueille avec bonheur. Il me dit « Tiens », « Tiens », « Prends-moi dans ton petit cul »… Il me prend la queue de la main gauche, et commence a me branler, ma bite est dans l’espace… Enfin, il me met toute sa bite dans le cul, et me dit « T’aimes ça salope ! », avant qu’il finisse sa phrase je lâche un cri de jouissance, et je jouis dans la cuisine du haut de l’échelle. Instantanément, il se met à jouir aussi entre mes fesses… Il a deux ou trois secousses qui lui résonnent dans tout le corps. Il se laisse tomber doucement sur mon dos, nous sentons nos cœurs battent à 100 à l’heure… Nous sommes essoufflés. Je devine nos spermes se mélanger sur le carrelage de la cuisine.